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25/02/2010

e-reputation des patrons du CAC 40

Les patrons ont-il intérêt à être présents sur la toile ou est-ce du temps perdu ?

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Hopscotch fait le point sur l'e-réputation des dirigeants du CAC 40 et  Louis-Serge Real del Sarte nous en livre une synthèse dans son Blog ! (Résultats du premier baromètre Hopscotch de l’e-réputation le 24/02/2010)

Benoît Potier (Air Liquide), Lakshmi Mittal (Arcelor Mittal), Paul Hermelin (Cap Gemeni), Lars Olofsson (Carrefour), Franck Riboud (Danone), Jean-Luc Dehaene (Dexia), Henri Proglio (EDF), Bernard Arnault (LVMH), François-Henri Pinault (PPR), Carlos Ghosn (Renault), Pierre-André de Chalendar (Saint Gobain), Chris Viehbacher (sanofi-aventis), Jean-Pascal Tricoire (Schneider Electric), Thierry Pilenko (Technip), Jean-Bernard Lévy (Vivendi)...

Quelles sont les tendances des patrons du CAC 40 ?
Sont-ils présents sur la toile ?
Ont-ils une e-réputation solide ?
Est-ce que leur e-réputation est corrélée à leur rémunération et leur fortune ?

Indice de visibilité, indice d’intérêt, indice de qualité...

Les clés de l’e-réputation selon Hopscotch sur le Blog de Louis-Serge Real del Sarte…

17/02/2010

Réseaux sociaux : mesures de protection des enfants

La Commission européenne demande aux réseaux sociaux d'améliorer les mesures de protection des enfants

Selon une étude de l'UE, 50 % des adolescents européens publient sur la Toile des informations personnelles qui peuvent rester indéfiniment en ligne et être vues par n'importe qui. En cette journée pour un internet plus sûr (Safer internet day), la Commission européenne lance un message aux adolescents: «Tu publies? Réfléchis!». Elle s'est félicitée des mesures prises pour protéger les enfants fréquentant des sites de socialisation par les vingt sociétés qui ont signé l'an dernier l'accord sur les «Principes de l'UE pour des réseaux sociaux plus sûrs» (IP/09/232). La plupart de ces sociétés donnent désormais aux mineurs les moyens de réduire eux-mêmes les risques encourus en ligne, en facilitant la modification des paramètres de confidentialité, le blocage d'utilisateurs ou la suppression de commentaires  et contenus indésirables. Mais selon la Commission, il faut aller plus loin si l'on veut assurer la protection des enfants sur internet. Moins de la moitié des sociétés de réseaux sociaux (40 %) limite par défaut la visibilité des profils des moins de 18 ans à leurs seuls amis, et un tiers seulement répond aux demandes d'aide des utilisateurs.

Un an après, la Commission a publié un rapport sur la mise en oeuvre de ces principes sur les 25 sites gérés par les signataires (Arto, Bebo, Dailymotion, Facebook, Giovani.it, YouTube, Hyves, Windows Live, Xboxlive, Myspace, Nasza-klaza.pl, Netlog, One.lt, Piczo, Rate.ee, Skyrock, SchülerVZ, StudiVZ, MeinVZ, Habbo, IRC Galleria, Tuenti, Yahoo!Answers, Flickr et Zap.lu). Il en ressort que 19 sites sur 23 donnent des consignes de sécurité et des informations en la matière spécifiquement destinées aux enfants ou aux adolescents (cette mesure n'est pas applicable à deux des services concernés). Ces informations sont à la fois faciles à trouver et faciles à comprendre sur 14 sites: YouTube, Habbo Hotel, Hyves, IRC Galleria, MySpace, Nasza-klasa, Netlog, One, Rate, SchülerVZ, Skyrock, Yahoo!Answers, Yahoo!Flickr et Zap.

Le rapport montre également que la plupart des sites offrent aux mineurs les moyens de réduire les risques éventuels et de préserver leur vie privée :

• en leur permettant de bloquer facilement à partir de leur profil l'accès d'autres utilisateurs et de supprimer facilement des commentaires;

• en facilitant la modification des paramètres de confidentialité, afin que les utilisateurs puissent choisir si ce qu'ils mettent en ligne ne pourra être vu que par leurs amis, ou par tout le monde;

• en permettant aux utilisateurs de contrôler l'affichage de leur statut en ligne (qui permet aux autres utilisateurs de voir s'ils sont en ligne ou non).

En revanche, d'autres mesures tout aussi importantes pour la protection de la vie privée ont été mises en œuvre de manière moins systématique :

• 40% des sites de socialisation examinés prévoient par défaut que les informations personnelles relatives aux mineurs ne seront visibles que de leurs amis: il s'agit de SchülerVZ, Facebook, Tuenti, Giovani, Flickr, Yahoo Answers, One, Habbo, Windows Live et MySpace;

• onze sites sur 22 seulement ont fait en sorte que les profils privés des mineurs ne puissent être trouvés par des moteurs de recherche : Arto, Bebo, Facebook, YouTube, MySpace, Piczo, SchülerVZ, Windows Live, Yahoo!Answers, Yahoo!Flickr et Zap;

• dix-neuf sites sur 25 comportent un lien permanent pour signaler des problèmes, mais 9 seulement (sur 22) ont répondu aux plaintes reçues pendant l'évaluation: Arto, Dailymotion, YouTube, Habbo Hotel, Hyves, IRC Galleria, MySpace, Rate et Windows Live. Il est donc urgent d'améliorer les services de réponse aux demandes d'aide des utilisateurs.

Les «Principes de l'UE pour des réseaux sociaux plus sûrs» ont été signés par 18 grands prestataires de services de socialisation européens le 10 février 2009, puis par deux autres sociétés en juin 2009 (IP/09/232, MEMO/09/58). En juin 2009, tous les signataires, à l'exception de Giovani.it, avaient renvoyé à la Commission européenne leurs déclarations de mise en œuvre de ces principes. Le rapport d'évaluation de cette mise en œuvre présenté aujourd'hui repose sur l'analyse des déclarations de ces sociétés et sur des vérifications concrètes de leurs sites, effectuées entre fin octobre et début novembre 2009.


http://europa.eu/  9 février 2010

15/02/2010

Enseignement : Pour mieux apprendre, pensez technologies !

Les initiatives qui mêlent enseignement et high-tech confirment le rôle de cette dernière sur la rapidité d'acquisition des connaissances et de compétences. Reste à transformer l'essai, et à l'échelle mondiale.

Dans une étude commandée à l'Ifop par L'Atelier et présentée à l'occasion de la conférence "One Laptop Per Child : plus qu'un ordinateur, une véritable révolution pédagogique !", il revenait clairement qu'en France, les individus ont identifié les bienfaits des technologies de l'information et de la communication pour l'éducation.

A une échelle plus globale, le projet One Laptop Per Child (OLPC) a lui aussi mis en avant les bénéfices des technologies pour l'éducation, notamment dans les pays émergents. Le constat de départ est simple : les solutions d'e-learning, et maintenant de m-learning, prolongent et rendent plus flexibles les moments d'enseignement. Mais permettent aussi à des publics qui ne le pouvaient pas forcément d'accéder à des formations. Ce, en raison de leur travail, de l'éloignement...

Les technologies ne jouent pas un rôle positif uniquement au niveau de l'enseignement à distance. Intégrer téléphone portable, jeux vidéo, solutions de réalité augmentée et modules collaboratifs aux projets éducatifs facilite l'acquisition des connaissances. Reste qu'il ne faut pas s'engager de façon précipitée dans une démarche d'e-learning ou d'insertion des TIC au processus éducatif. D'une part parce que toutes les technologies ne sont pas forcément adaptées à la forme de savoir que l'enseignant cherche à transmettre. Mais aussi parce que trop de supports high-tech peuvent perturber au final plus qu'ils n'aident l'acquisition des connaissances. Parmi les conseils qui ressortent des différentes initiatives menées : la nécessité de miser sur la logistique et l'encadrement des élèves, mais aussi définir une stratégie bien rodée à laquelle les outils technologiques s'ajoutent.

http://www.atelier.fr/ 5 février 2010

05/02/2010

Le cerveau des médecins moins sensible à la douleur d'autrui

Une équipe de neurobiologistes américains, en collaboration avec des chercheurs taïwanais, a réalisé une étude sur la gestion par les praticiens de leurs propres émotions face à une situation thérapeutique impliquant la douleur du patient. L'expérience a consisté à projeter à un groupe de médecins, puis à un groupe témoin, des images de personnes recevant une piqûre, et à mesurer par électroencéphalogramme la réaction électrique la plus immédiate de leur cerveau. Car le signal de la perception de la douleur chez autrui, qui est proportionnel à l'intensité estimée de cette douleur, intervient en seulement un dixième de seconde dans le cerveau. Or, pour le groupe de médecins, la zone du cerveau qui normalement s'active lorsque nous voyons un traitement douloureux appliqué à une tierce personne, reste invariablement sans réaction.

Les chercheurs expliquent ce phénomène par le fait que les praticiens ont dû, au cours de leur formation et de leurs années d'expérience, apprendre à gérer leurs émotions afin, d'une part de ne pas inquiéter leurs patients en étant eux-mêmes agités, d'autre part de maintenir un niveau de concentration suffisant pour rester objectif dans le choix du traitement. "Nous avions déjà montré que certaines zones, dans le cortex préfrontal notamment, s'activent uniquement chez les médecins face à la douleur d'autrui et que cela était causé par un contrôle spécifique des émotions. Restait à savoir si cette régulation s'exerçait dès la perception", comme le démontre l'étude, "ou si elle était le résultat d'un contrôle plus tardif de la part du cerveau", commente Jean Decety, principal auteur de ces travaux.

Le Figaro - 02/02/10

04/02/2010

Nouvelles technologies : Les outils de travail collaboratifs promis à une belle croissance

D’ici à 2011, les entreprises devraient laisser davantage la place aux contenus partagés et aux réseaux sociaux, selon une étude réalisée par Markess International.

Pour plus de 80 % des 200 organisations interrogées (dont 48 % comptent plus de 2 000 collaborateurs), la messagerie d’entreprise figure, avec l’agenda partagé et le partage de fichiers, parmi les solutions de collaboration privilégiées en 2009. Mais, selon l’étude de Markess International consacrée aux solutions de collaboration d’entreprise, d’ici à 2011 et au-delà, de nouvelles fonctionnalités collaboratives seront demandées.

Nouveaux usages
Pour un quart à un tiers des entreprises interrogées, les domaines collaboratifs privilégiés seront, par ordre décroissant : les espaces collaboratifs et les solutions permettant la création de contenus à plusieurs ; la gestion de projet ; les solutions de partage de contenus et de gestion documentaire ou de contenus ; les réseaux sociaux d’entreprise ; les solutions de gestion de contacts et de présence ; les blogs et wikis, la messagerie instantanée et la conférence web.

Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée de Markess International, constate que « les évolutions en cours impliquent des changements profonds dans les habitudes de travail et les modes opératoires des organisations ». Les nouveaux usages collaboratifs nécessitent un accompagnement en amont et une formation adaptée, ainsi qu’une définition claire des objectifs poursuivis.

Apports majeurs
Les entreprises interrogées identifient cinq apports majeurs :

  • la performance individuelle et collective

  • le partage et l’accès à l’information

  • la capitalisation des connaissances

  • la diffusion de l’information

  • les économies financières associées.

Selon Markess, le marché français des logiciels et services associés aux solutions de collaboration d’entreprise, estimé à 860 millions d’euros à fin 2009, devrait atteindre près de 1 milliard d’euros en 2011, soit +7,8 % de croissance moyenne annuelle.
Source de l'article : wk-rh.fr 2 février 2010

03/02/2010

Emploi en 2010 : les grandes tendances du recrutement

Si en 2009, crise oblige, les entreprises n’ont pas rivalisé d’imagination pour recruter, elles ont du pain sur la planche cette année. Cinq grandes tendances se dessinent.

La Toile regorge d'outils précieux pour aider les recruteurs à dénicher des candidats. Plus question de se contenter de diffuser des annonces sur les sites d'emploi, les recruteurs doivent revoir leurs méthodes de travail, comprendre par exemple les rouages de Google, et oser diversifier leurs canaux de recrutement. De Twitter à LinkedIn, en passant par Viadeo ou Facebook, et bientôt l'iPhone, ils n'ont que l'embarras du choix. Dans cette seconde partie de notre dossier consacré à l'emploi 2010, 01netPro revient sur quelques-unes de ces (r)évolutions.

1. Le référencement naturel, un passage obligé pour les recruteurs


En 2010, les recruteurs ne pourront plus faire l'impasse sur Google. « Les entreprises ont manqué la révolution du référencement naturel en 2009. Elles ont quasiment toutes des sites Carrières mal référencés. Du coup, leurs offres ne remontent pas dans les moteurs de recherche. C'est un gros gâchis », explique Laurent Pilliet, patron de Naopresse, agence spécialisée dans les RH, et coauteur de l'ouvrage Tops et flops du recrutement (Studyrama). Résultat : les recruteurs vont devoir sérieusement plancher sur le référencement, apprendre à améliorer la visibilité de leurs annonces en découvrant, notamment, les rouages de Google, en se dotant d'un site Carrières pensé pour le référencement. Un travail qui ne s'improvise pas. Si elles n'ont pas l'appui en interne d'un spécialiste, elles pourront se tourner vers des agences de communication RH ou des Web agency, par exemple. Certains acteurs RH proposent d'ores et déjà une offre dans ce domaine.

2. La généralisation de l'usage des réseaux sociaux professionnels

Le recrutement 2.0 n'a pas dit son dernier mot. Surtout dans des secteurs innovants comme celui de l'informatique. D'une manière générale, les réseaux sociaux professionnels tels que LinkedIn ou Viadeo investissent de plus en plus la sphère de l'entreprise. Des postes de responsables de médias sociaux ou de communautés ont vu le jour dans des sociétés IT (Orange, Dassault Systèmes, etc.), avec un objectif : élaborer de véritables stratégies pour mettre en avant leur marque sur les différents sites communautaires. Une façon peu coûteuse de développer sa notoriété et de contrôler sa réputation. Dans le domaine du recrutement, force est de constater que les recruteurs ne se sont pas tous familiarisés à ces outils. Les chasseurs de tête un peu plus… Toutefois, leur usage se développe. Les recruteurs postent des annonces, font de l'e-mailing payant, ou lorsqu'ils disposent d'un compte Premium, contactent des candidats intéressants. Pour Laurent Pilliet, l'un des avantages reste la qualité des CV déposés sur Viadeo, par exemple. « Elle ne faiblit pas. En plus, les candidats actualisent davantage leur profil sur ces sites que sur des job boards ». Pour Jacques Froissant, fondateur d'Altaïde et cofondateur de Moovement.fr, les recruteurs pourraient aussi, cette année, se tourner davantage vers les moteurs de recherche d'offres d'emploi sur Internet – encore peu utilisés par les candidats – tels que Jobijoba.fr, Moovement.fr ou, les versions françaises des sites américains Simplyhired et Indeed.

3. Facebook, un terrain de chasse pour les recruteurs…

Comment rester insensible aux 15 millions de Français inscrits sur Facebook ? Il y a fort à parier qu'en 2010, les recruteurs aillent davantage à la rencontre des candidats qui se cachent – ou pas – sur le réseau des amis. Les groupes tels que Recrutement et RH 2.0 (1 685 fans) ou Recrutement Web 2.0 (3 596 fans) pourraient aussi se multiplier sur Facebook. Même les cabinets de recrutement créent de plus en plus leur page sur Facebook, offrant parfois une liste des annonces disponibles. « Plus qu'une tendance en 2010, c'est surtout un pari, estime Laurent Pilliet, car les Français ne voient pas Facebook comme un outil professionnel. Mais si des prestataires proposent des systèmes de cooptation sur Facebook, cela peut devenir intéressant. »

4. … Twitter aussi

De plus en plus de recruteurs postent leurs offres sur l'outil de microblogging Twitter. Certaines entreprises, comme le groupe Société Générale, se sont créées un compte sur Twitter pour draguer les candidats, divulguer des offres et leur proposer des conseils. Elles risquent d'être de plus en plus nombreuses à franchir le pas même si, en France, Twitter n'est pas encore très populaire. De leur côté, les candidats à l'emploi – les informaticiens, entre autres – n'ont déjà que l'embarras du choix pour accéder à des annonces, en un clic. 01NetPro, en novembre dernier, avait déjà répertorié plus de 40 comptes susceptibles de les intéresser. La liste Recrutement 2.0 sur Twitter peut aussi leur donner des idées.

5. Le mobile, un nouveau canal de recrutement ?

Les recruteurs vont-ils se laisser séduire par l'iPhone ? C'est encore la grosse inconnue. Pour Jacques Froissant, « la consultation des offres sur mobile est aujourd'hui facilitée par la démocratisation des smartphones comme l'iPhone, et le développement de la 3G accessible de plus en plus facilement. Le métro, le RER, le bus sont des endroits privilégiés de consultation Web. ». Les recruteurs ont donc tout intérêt à ne pas bouder ce nouveau canal de recrutement et à diversifier leurs méthodes de sourcing. L'iPhone est aussi bien adapté aux recruteurs mobiles, souvent en déplacement. Certains éditeurs comme Recrutae n'ont pas tardé à proposer à leurs clients une solution de recrutement pour iPhone. Ceux-ci peuvent consulter quotidiennement les derniers CV reçus depuis leur téléphone, y répondre en envoyant, si besoin, des courriers types. Ils accèdent aussi, par exemple, à une série limitée de statistiques sur les embauches effectuées, le nombre de visiteurs et de pages vues sur les offres et le site RH du recruteur, l'origine des visites, etc.


http://pro.01net.com 15/01/2010

02/02/2010

Les réseaux sociaux plébiscités par les internautes français

Une majorité des Français qui se rendent sur le web est membre d'au moins une plate-forme communautaire. La plus populaire ? Copains d'avant, qui résiste encore à Facebook et Windows live.

"L'année 2009 a été marquée en France par une amplification de l'essor des réseaux sociaux en ligne", rapporte l'Ifop dans son dernier Observatoire des réseaux sociaux. Et de fait, près de 80 % des internautes déclarent être membres d'au moins un site communautaire. Plus des deux tiers des Français sont désormais connectés au web social. Avec une surprise : contrairement aux idées reçues, ce n'est pas Facebook qui caracole en tête, mais Copains d'Avant. Un Français internaute sur deux est inscrit à la plate-forme. Le site américain arrive même en troisième position, derrière Windows Live, qui rassemble 46% des Français.

Etre membre de plusieurs réseaux sociaux

Facebook connaît néanmoins une croissance impressionnante depuis l'étude précédente, qui datait d'Automne 2008. Autre apport de l'étude, lorsqu'un Français est membre d'un de ces trois grands réseaux sociaux, il a de fortes chances de l'être aussi d'un autre site communautaire. A titre exemple, la moitié des membres de Copains d'Avant ont un compte sur Facebook. Quant à Twitter, il connaît une progression spectaculaire de sa notoriété : le site de gazouillis est désormais connu par près de deux Français sur trois, avec une progression de 58 points en un an.

La quasi-totalité des jeunes possède un compte sur un réseau social

Mais seuls 5 % des personnes interrogées déclarent être membre du site. Des conclusions proches de celles publiées par L'Atelier et FaberNovel dans l'étude dédiée aux usages du site de micro-blogging en France. Dernières conclusion du rapport : l'appartenance à un réseau social varie encore fortement d'une classe d'âge à une autre. Près de la totalité des jeunes de 18 à 24 ans déclarent être membres d'au moins un des réseaux étudiés, mais ce chiffre tombe à près de 50 % pour les plus de 65 ans.



www.atelier.fr, 15/01/2010

01/02/2010

CAC 40 : femmes et conseils d'administration

L'Assemblée nationale examinera demain une proposition de loi, qui permettrait d'instaurer un quota de 40% de femmes dans les conseils d'administration des entreprises du CAC 40.

Actuellement, trop peu de femmes y siègent, les exemples faisant figure d'exception, comme Claudie Haigneré chez sanofi-aventis. Avec ce texte, la France emboîte le pas à la Norvège et à l'Espagne, deux pays imposant un tel quota dans les instances dirigeantes des entreprises.

La tribune - 19/01/10