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31/12/2009

Entreprise : Génération "Y", Génération "X", Génération "35h"

La "Génération Y", ces enfants des babyboomers nés entre 1980 et le milieu des années 1990, investit l'entreprise. S'interroger sur ses attentes et besoins pour repenser sa stratégie de recrutement, d'intégration et de management est gage de réussite. Check-up des mots-clefs qui la caractérisent.

Génération 2.0
Nés à l'ère des NTIC, les "Y" ont grandi et évolué avec Internet et les usages 2.0.

Interconnectés, sensibles au dialogue, ils aiment la transparence, l'ubiquité, l'ouverture sociale. "Le jeune Y ne recherche plus simplement un emploi et son salaire associé, mais une réelle expérience de vie, qui lui promet challenges, échanges, prises de paroles, montée en compétences…" (Le Journal du Net 11/07/08).

Pour les recruter, l'entreprise est amenée à repenser et renouveler ses moyens de communication. A côté des outils basiques, les sites des entreprises font "peau neuve" se dotant de plates-formes RH, de blogs… pour cibler et attirer les potentiels futurs collaborateurs. Ainsi, Air France propose aux internautes une interface collaborative avec les employés de la compagnie. Une communication de l'intérieur sur les métiers peut ainsi s'instaurer.

Selon Yves Desjacques, DRH du groupe Casino, "Les "Y" affichent des exigences très fortes en matière de progression de carrière et de qualité de vie au travail (…)" (La Tribune 05/09/08). A charge pour l'entreprise de donner du sens à leurs missions.

Pour les "Y", la carrière n'est pas tout! Ils peuvent s'impliquer en dehors de l'entreprise. Conscientes de ces aspirations, des entreprises leur répondent. Chez Ineum (consulting), un "power day" est organisé chaque année. Il permet aux collaborateurs volontaires de contribuer à des activités sociales ou environnementales au service d'une association partenaire (Les Echos 28/04/09).

Génération "Why"*?
Difficile de manager les jeunes de la génération Y.

Entrés dans l'entreprise, les Y, habitués à un monde qui change, peuvent en ressortir tout aussi vite : on les dit "surfeurs". Ils seraient plutôt en quête d'apprentissage permanent. Ainsi, chez Oliver Wyman, société de conseil, un jeune collaborateur peut suivre une dizaine de formations en trois ans. Son aîné en aura bénéficié de cinq en vingt ans.

Ils sont plus fidèles aux gens avec lesquels ils travaillent et dont ils apprécient le professionnalisme, qu'à leur entreprise. Pour eux, le respect n'est pas une question d'âge et doit être mutuel. Ils ne reconnaissent leur manager que s'il est présent, crédible et qu'il travaille à leur côté. Ils sont très exigeants en matière de progression de carrière et de qualité de vie au travail. Ils n'hésitent pas à multiplier les expériences professionnelles pour acquérir de nouvelles compétences et élargir leur réseau. Leur périmètre est européen ou international.

Certaines entreprises ont d'ailleurs intégré dans leur politique de recrutement ce besoin de mobilité.

BNP Paribas offre à chaque région la possibilité d'éditer un blog ce qui permet à l'entreprise de mettre en valeur ses opportunités de carrière, ses challenges…

AREVA a mis en place des outils pour que ses collaborateurs partagent avec leurs amis présents sur Facebook, les offres à pourvoir dans l'entreprise : moyen d'asseoir son image, sa notoriété.

Génération 35h
"Les jeunes ne me paraissent pas, a priori, moins motivés que leurs aînés, ils le sont simplement autrement." précise Philippe Vivien, DRH du groupe AREVA(Entreprise et Carrières, 19-24/09/07). Ils souhaitent trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Selon Emmanuel Hautempenne, consultant spécialiste des jeunes chez Sorgen "ils veulent bien gagner moins pour avoir plus de temps à côté, surtout s'ils ont un hobby qui les passionne" (Le Figaro Entreprises et Emploi, 19/09/05).

S'ils ne sont pas moins engagés, ils aspirent à plus de souplesse dans l'organisation de leur temps de travail. Adeptes du travail à distance que permet le développement des nouvelles technologies, ils sont prêts à donner des forts "coups de colliers" s'ils sont compensés par du temps libre. Bienvenue dans l'ère du donnant-donnant!

Génération Y/Génération X**
A l'heure où pèse sur les entreprises la gestion des seniors (cf alerte RH du 25/05/09 sur "L'emploi des seniors" et le Management RH du 10/05/09 sur ""Le travail des retraités" ), les DRH que vous êtes, doivent penser aux relations intergénérationnelles au travail (éviter par exemple les oppositions seniors/génération Y), susciter les échanges pour favoriser le transfert de connaissances et de savoir faire mutuel, préparer les nouveaux comportements managériaux. Il y aura lieu aussi de réfléchir à une politique de fidélisation telles que recherche des élements propres de motivation de cette génération (approche plus créative des métiers…).

* Y en anglais se prononce why. Il s'agit d'un jeu de mots pour caractériser une génération qui serait en demande constante de justifications.

** Génération X: personnes nées entre 1960 et 1980. Le terme X caractériserait le manque de repères de cette génération qui a grandi sous la guerre froide

Lire l'article complet sur les générations et leurs comportements en entreprise...

29/12/2009

Web 2.0 : un nouveau défi pour la gestion des ressources humaines

Les outils du Web 2.0 investissent l'entreprise. Ils modifient radicalement les méthodologies de travail. Basés sur le fonctionnement collaboratif, ils sont en passe de révolutionner la communication et le management lui-même. Les DRH interpellés, doivent se lancer dans l'ère du web interactif.

De la sphère privée à l'entreprise
La communication démultipliée que représente le web 2.0 se décline en de nombreuses applications. Une nouvelle génération de salariés pousse les entreprises à s'ouvrir à ces outils plus participatifs qu'elle maîtrise parfaitement (blogs, wikis*, réseaux sociaux etc..). Les collaborateurs ne conçoivent plus de ne pas retrouver dans leur sphère professionnelle les outils qu'ils utilisent dans leur sphère privée.

Mais les entreprises sont parfois réservées quant à la généralisation du web 2.0 par peur de perdre le contrôle de l'information. Pourtant, d'après André-Benoît de Jaegère, directeur de l'innovation et du développement au sein de Capgemini Consulting, "le véritable enjeu n'est pas le contrôle de l'information, mais le contrôle de l'accès à l'information".

Un outil testé par des entreprises internationales
La nomadisation du travail incite également les entreprises à mettre en place des portails prenant en compte des technologies favorisant l'émergence de communautés collaboratives et des espaces participatifs. Ces portails intègrent les réseaux sociaux professionnels tel que Viadéo, linkedln, des blogs, des wikis… La société Accenture entreprise " worldwide" a mis en place une plateforme unique, "Accenture Collaboration 2.0″. "…Nous nous positionnons comme une société capable de mobiliser des compétences partout dans le monde afin d'accompagner les projets internationaux de nos clients…[...]. Nous avons toujours cherché a réinventer le don d'ubiquité " souligne Marc Thiollier DG d'Accenture France et Belgique (Entreprises et carrières N°950).

Une expertise partagée
A la Société Générale, la plateforme collaborative combine un annuaire de type réseau social pour que les managers se présentent et créent leur propre communauté d'intérêts et des espaces de travail en mode wiki. Elle héberge des ateliers, des thèmes imposés alimentés par des contributeurs volontaires, tel que le développement du capital humain ou la relation client.

Comme le note François Pichon, directeur marketing d'Open text (entreprises et carrières N° 950), "…les espaces collaboratifs sont devenus des communautés d'expertises, certains salariés partagent les bonnes pratiques sur un métier et pérennisent les savoirs, notamment dans la perspective des départs en retraite".

Encourager la créativité et l'innovation
Chez Mondial Assistance, c'est un outil " BlueKiwi* " qui a permis à l'équipe de se fédérer et d'impulser une dynamique de créativité. Cette plateforme de discussion permet d'échanger en toute simplicité. Des groupes de discussions thématiques s'y sont aussi créés.

Autre illustration au sein de Réunica, sous la forme d'un logiciel d'innovation participative. Outil qui sert également à doper la motivation et à responsabiliser le personnel.

Changer les mentalités
Ces nouveaux outils ne sont pas toujours dans l'environnement culturel de l'ensemble des collaborateurs. La formation à ces nouvelles technologies pourra être envisagée pour faciliter l'appropriation. Le développement du web 2.0 nécessite pour le management de créer de nouveaux réflexes car il s'agit de partager l'information. Un changement des mentalités devient incontournable.

Une utilisation à encadrer
Les risques de dérapage avec ces outils sont parfois évoqués. Pour y remédier, SFR exige que tout article de "MySFR", à la fois blog et réseau social, soit signé par son auteur. Effet garanti! Prévoir une traçabilité des échanges est également souhaitable.

Pour 60% des DRH, sont en jeu des questions de confidentialité et de sécurité (étude Novamétrie, septembre 2009). Le risque est grand que soient divulguées des informations stratégiques. D'où la mise en place de règles précises d'utilisation. 20% des entreprises interrogées par Novamétrie dispose d'une charte d'utilisation.

Les conditions de la réussite
La moitié des DRH estiment que les réseaux sociaux internes seront une priorité stratégique à l'horizon 2012. Instaurer de la confiance et du sens dans l'usage de l'outil sera un enjeu du DRH. Il veillera à ce que les managers ne se sentent fragilisés. Cette mise en place du 2.0 pourra être progressive en commençant avec un petit cercle d'utilisateurs volontaires puis en l'élargissant au fur et à mesure des retours d'expérience. Cette démarche aura l'avantage d'être plus facile à gérer et pourra être propice à la diffusion des usages du web 2.0 au sein d'une plus large communauté. Il y aura lieu aussi de réfléchir à la nomination d'"animateur ou coordinateur de communauté".


Wiki: système de gestion du contenu d'un site web librement modifiable. On utilise les wikis pour faciliter l'écriture collaborative de documents avec un minimum de contraintes.

KIWI: projet d'équipe de gestion du savoir. Knowledge Information Web Intelligence.

Consulter l'article complet sur l'utilisation du web 2.0 en entreprise...

26/12/2009

Twitter se met au français

Le célèbre site de micro-blogging Twitter est désormais disponible en langue française. Jusque-là, le site n'était disponible qu'en anglais, en japonais, et plus récemment en espagnol.

C'est sur son blog officiel que l'équipe de Twitter a annoncé jeudi soir de l'arrivée d'une version francophone du site. Les membres de France, de Belgique ou du Québec peuvent dès à présent changer le paramètre de langue en français dans le menu déroulant sur la page d'accueil.

Comme pour Facebook l'année dernière, le nouveau site en vogue sur la Toile a sollicité ses membres pour l'aider à traduire les différentes applications. Des versions en italien et en allemand sont également en cours de réalisation.

Site à la mode et symbole du Web 2.0, Twitter est un outil de réseau social et de "micro-blogging". Ses utilisateurs ont la possibilité de signaler à leur réseau ce qu'ils sont en train de faire, et de publier des messages courts (les "tweets") d'une longueur maximale de 140 caractères.

Le principal atout de ce service gratuit créé en 2006 aux Etats-Unis est son interface de programmation ouverte et simple d'utilisation. De nombreuses célébrités, comme la chanteuse Mariah Carey ou le cycliste Lance Armstrong, s'en servent pour communiquer régulièrement leur agenda.

Twitter, qui compte près de 50 millions de membres à travers le monde, pourrait bien voir sa fréquentation monter en flèche avec le lancement de déclinaisons régionales. Suite à sa traduction en plusieurs langues, Facebook avait connu en 2008 un véritable engouement dans le monde. Selon le cabinet comScore, la traduction en français de Facebook au printemps 2008 avait généré 600.000 visiteurs uniques supplémentaires en France en un seul mois.

A noter enfin qu'une partie de l'équipe Twitter sera présente à Paris les 9 et 10 décembre pour la conférence "Le Web", présentée par Loïc Le Meur.

20/11/2009

Lire l'article complet sur Twitter et le français...

24/12/2009

Web 2.0 : révolution en cours !

Une vraie révolution est en cours. La blogosphère ne cesse de croître à un rythme effréné. Aujourd'hui toutes les 1,5 secondes un blog est créé, autrement dit 900 000 blogs en 24 heures ! 500 000 nouvelles personnes créent leur profil sur Facebook chaque jour ! Le réseau social numéro 1 comptabilise déjà plus de 325 millions d'utilisateurs (6 novembre 2009).

Sur les moteurs de recherche, 7% de toutes les requêtes se font sur le nom d'une personne.

23 % des internautes font des recherches sur un collaborateur ou un contact professionnel avant de le rencontrer et 77% des recruteurs font des recherches en ligne sur les candidats. Et toutes ces tendances ne font que se renforcer jour après jour.

Le web 2.0, les médias sociaux, l'ouverture d'internet à tout un chacun sont en train de révolutionner plusieurs domaines : la communication, le marketing (on parle de marketing 2.0 ou numérique), la CRM (la gestion de la relation avec la clientèle), etc.

Lire l'article complet sur le web 2.0 et la révolution en cours !

23/12/2009

Le web 2.0 où la prise de pouvoir de l'internaute

Bien des marques traditionnelles ont du mal à gérer leur image et réputation en ligne. C'est notamment le cas des grandes marques qui sont rarement à l'origine des messages les concernant diffusés sur Internet.
Internet reste un média sous exploité par les entreprises, tant au niveau publicitaire qu'en tant que vecteur de communication. Par exemple, très peu d'entreprises interviennent dans la gestion des groupes facebook qui leur sont dédiés.

Un livre blanc publié par 360i met en avant que 77% des résultats incluant YouTube, Facebook, ou encore Twitter sur des requêtes concernant des marques sont contrôlés par des internautes et non les marques elles mêmes.

Notons que 7% des requêtes effectuées incluent une forme de réseau social, un chiffre qui devrait prendre une ampleur considérable dans l'année à venir. Les internautes utilisent les réseaux sociaux dans une démarche conversationnelle : ils partagent des points de vue, se positionnent par rapport à une marque, relatent leurs expériences par rapport à celle-ci, etc.

Un état de fait qui devrait motiver les entreprises à s'inscrire dans ce type de démarche conversationnelle afin de gérer au mieux leur réputation en ligne.

La principale composante pouvant prouver l'importance que prend Internet est bien le e commerce, qui plus est dans les périodes de fêtes à venir. En effet, pour noël les intentions d'achat en ligne sont clairement en hausse par rapport à l'année dernière. 70% des internautes pensent acheter leurs cadeaux en ligne (68% l'année dernière). Marc Lolivier, délégué général de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) met en avant que « malgré un contexte économique récessif, le secteur du e-commerce continue d'afficher une croissance insolente et les perspectives pour Noël sont excellentes ». Une remarque qui devrait réjouir les acteurs du web et susciter quelques vocations pour d'autres encore peu présents sur le
secteur.

La vente en ligne lors des fêtes de fin d'année devrait atteindre 5 milliards d'euros, soit 25% supplémentaire par rapport à l'année dernière. Les cyberacheteurs déclarent vouloir dépenser autant (77%) voir plus que l'année dernière (11%). 71% des internautes interrogés disent vouloir
dépenser encore 100 et 500 euros. 30% pensent dépenser plus de 50% de leur budget cadeaux en ligne.

Ceci s'explique par un contexte de crise toujours sous-jacent dans l'esprit des consommateurs. Internet représente : - un moyen de comparaison afin de trouver la bonne occasion,
- un gain de temps, - un large choix.

38% déclarent également économiser le coût du déplacement en voiture.

Internet représente un réel canal de communication que les entreprises devront s'approprier au plus vite afin de demeurer compétitives. Par ailleurs, chaque action qu'elles entreprennent sont diffusées sur Internet…

Il est donc indispensable pour elles de gérer convenablement leur image sur différentes plateformes : réseaux sociaux, blogs, forums, microbloging…


19/11/2009

Lire l'article complet sur le web 2.0 et la prise de pouvoir de l'internaute...

22/12/2009

Dictionnaires : nouveaux termes

Le New Oxford American Dictionary, prestigieux dictionnaire anglo-saxon, a choisi « unfriend » comme le mot de l'année 2009. Ce néologisme, qui signifie retirer quelqu'un de ses amis sur un réseau social, relance le débat sur l'utilisation, voire la consécration, de termes issus du Web 2.0.

Certains, conservateurs, pensent que de tels mots ne riment à rien alors que d'autres, qui les utilisent quotidiennement estiment qu'une évolution du langage, et par là même du dictionnaire, est parfaitement justifiée.

En plus du mot « unfriend », d'autres termes issus de l'univers des technologies de l'information et de la communication (TIC) feront leur apparition l'édition 2010 du dictionnaire.

Apparition d'un terme, utilisation massive, puis enfin entrée dans le dictionnaire : la France n'est pas épargnée par le phénomène. L'édition 2010 du Larousse a par exemple consacré l'anglicisme geek, pourtant originaire d'après le Oxford du moyen haut-allemand geck fou et du néerlandais gek (fou, dans les deux cas).

Lire l'aticle complet sur les nouveaux termes des dictionnaires...

18 novembre 2009

21/12/2009

Changements technologiques et résistance : myopie ou déni ?

Le changement a toujours été vu comme une menace à l'équilibre établi en entreprise. Il provoque l'anxiété parce qu'il modifie les repères habituels, suscitant du coup la résistance. À une logique de stabilité et de permanence (vous savez, le bon vieux temps) se substitue alors une logique de transformation. Si la maîtrise de l'innovation de rupture est un art, tous n'en ont certainement pas le talent. Le présent billet a pour but de présenter les excuses les plus soulevées par les dirigeants en entreprise pour justifier leur résistance, ici appliquées au changement amené par le Web 2.0, et des pistes pour les convaincre de faire autrement.

12 novembre 2009

Lire l'article complet sur : Changements technologiques et résistance...

20/12/2009

Une place réservée !...


Corsica !

19/12/2009

Débat autour de l'utilisation des neurosciences par la justice

"Le Figaro" indique que le Centre d'analyse stratégique, organisme rattaché au Premier ministre, vient d'organiser un séminaire consacré à l'utilisation des techniques modernes d'imagerie cérébrale dansles procédures judiciaires. D'après le quotidien, ces méthodes, employées dans certains pays pour vérifier la véracité des propos d'un accusé ou bien déterminer sa responsabilité, suscitent en France des réserves "tant pour des raisons de fiabilité scientifique que pour des questions d'ordre éthique". Côté recherche, des neuropsychologues de l'Université de Zurich ont mis en évidence en laboratoirel'activation de deux zones spécifiques du cerveau trahissant une intention malhonnête ou un projet demensonge. Pour autant, les chercheurs se gardent bien d'affirmer la fiabilité absolue d'une telle méthode, car, comme le rappelle Angela Sirigu, directrice de recherche au Centre de neurosciences cognitives du CNRS à Lyon, "une étude en laboratoire ne peut être extrapolée à la réalité de la vie, avec toute la variabilité que peuvent présenter les individus".

Le Figaro - 12/12/09

08/12/2009

Marketing pharma et santé: les Réseaux Sociaux aussi !

Slideshow de l'agence Digitas Health à l'appui, le secteur de la santé fait et fera de plus en plus de marketing. Offline et online, que ce soit directement à destination du public, ou indirectement via les professionnels et pharmaciens.

C'est le cas de Microsoft qui explore les futures technologies de santé personnelle de la prochaine décennie. J'avais aussi remarqué ce que Philips fait en B2C et plus spécifiquement sur les produits de matériel B2B. Evidemment, le coeur du dispositif est mené par les fabricants de produits pharmaceutiques comme Johnson&Johnson, avec un marketing grande conso et des vraies marques. Pour toucher le public et les patients potentiels, les réseaux sociaux sont forcément inévitables et très largement utilisés. "Social media is not a channel.. it's a conversation"... cet adage est donc aussi vrai pour le marketing de la santé, comme détaillé par l'agence Digitas Health spécialisée verticalement sur le marketing pharma.

Lire l'article complet sur les réseaux sociaux : marketing pharma et santé

06/12/2009

Motiver ses employés en restant concentré sur le positif

Favoriser l'autonomie, la prise de décision et les évolutions de carrière sont des facteurs importants pour l'implication dans le travail. L'utilisation des réseaux sociaux et des jeux sérieux peuvent y aider les entreprises.

En terme de management de la motivation, il est plus efficace de se concentrer sur l'implication dans le travail que sur les faiblesses individuelles et les « ratés » de la vie professionnelle. C'est en tout cas ce qu'affirme le professeur Astrid Richardsen de la BI Norwegian School of Management. « Les entreprises gagneraient beaucoup à s'intéresser davantage aux aspects positifs du travail qu'aux choses qui ne fonctionnent pas », explique-t-elle. Une telle application de la psychologie positive est plus susceptible d'augmenter la productivité et la motivation des employés. « S'impliquer dans son travail ne veut pas dire s'y épuiser », tient cependant à préciser Astrid Richardsen.

Les quatre facteurs de motivation

C'est un processus motivationnel dans lequel les ressources de travail stimulent l'activité, l'efficacité et la performance. Les travaux du professeur Norvégien lui ont permis de dégager quatre facteurs susceptibles d'améliorer l'implication des employés dans leur travail. Le premier concerne l'autonomie de l'employé, c'est à dire la liberté qu'il a de prendre des décisions importantes. Vient ensuite le soutien social qu'il obtient de ses supérieurs et de ses collègues. Le troisième facteur s'intéresse à la satisfaction des employés vis à vis de leur carrière. Le
dernier concerne les opportunités d'évolution interne.

Les réseaux sociaux et les jeux sérieux à l'appui

Pour aider les entreprises à appliquer ces préceptes, les réseaux sociaux et les jeux sérieux pourraient s'avérer des alliés précieux. Le rôle des réseaux sociaux dans le fléchissement des barrières hiérarchiques et dans l'amélioration des relations professionnelles est prouvé de longue date. Leur utilisation pour gérer sa carrière ne fait plus guère de doute non plus, comme le rappelle une étude récente. Quand aux jeux sérieux, ils pourraient permettre d'encourager la prise de décision et accentuer l'autonomie des salariés. Ils peuvent également servir à recréer de l'enthousiasme et à favoriser la communication informelle, dans le cadre de jeux en groupe par exemple.


http://www.atelier.fr/ 09/09/2009

Lire l'article complet "Motiver ses employés en restant concentré sur le positif"

05/12/2009

La future « collaboration d'entreprise » avec le web 2.0

Les dispositifs liés au Web 2.0 ont su s’intégrer progressivement au sein des sociétés. A l’heure ou les outils de collaboration d’entreprises se développent de plus en plus, tels que les réseaux sociaux ou encore le système de flux RSS, l’institut Gartner s’est penché sur le sujet : d’ici trois ans ce système de solution de partage entre professionnels devrait être présent dans 80% des plates-formes de travail collaboratif en entreprise.

Récemment, l’institut Gartner (leader mondial dans la recherche en technologie de l’information) a livré un nouveau rapport, à destination des entreprises, sur les changements de systèmes d’outillages s’appliquant au Web 2.0. Des outils de système de gestion de contenus et d’informations qui sont des facteurs encourageants pour garantir le déploiement des entreprises

Dans le but d’améliorer la collaboration aussi bien en interne qu’avec les partenaires, les entreprises devront davantage avoir recours aux technologies pour faire de la « collaboration » une nouvelle forme de travail. En intégrant des outils type flux RSS ou même wiki, l’intérêt va être de faciliter l’écriture collaborative pour ainsi amener les entreprises vers une meilleure interaction avec leurs clients, leurs partenaires et leurs salariés. D’ici 2013 plus de 80% de plates-formes de travail collaboratif en entreprise adopteront ces nouveaux dispositifs qui s’appliquent au Web 2.0.

La société d’analyse insiste également sur le fait qu’il est important dès aujourd’hui d’intégrer de façon harmonieuse ces outils. En effet, ne pas les substituer aux autres formes de travail permettra ainsi d’améliorer la productivité des entreprises.

Un seul bémol est affirmé par le Cabinet : les entreprises doivent jouer le jeu pour réussir ce passage vers la nouvelle technologie de l’information. Désormais il n’est plus question d’établir des collaborations basées sur de simple partage d’informations et de documents, mais de proposer d’agir et d’interagir directement sur les informations et collaborateur. Ainsi, la réussite des « collaborations d’entreprises » orientées 2.0 se feront dès lors que les entreprises ne substitueront pas la transmission classique pour ces nouvelles méthodes.

Egalement, il est intéressant de noter que de plus en plus de solutions hybrides font leurs apparitions. Méthodes qui permettent aux entreprises d’améliorer leur productivité via des produits tels que Zoho ou récemment Google Apps. Facilitant l’utilisation du 2.0 c’est outillages permettent d’effectuer un travail hors-ligne.

Enfin, pour assurer une telle interactivité dans le travail il va être important pour les dirigeants de prendre en compte les compétences des salariés et de les respecter. En effet, les entreprises se doivent de proposer les meilleurs techniques de travail. Les utilisateurs de la méthode classique sont nombreux et ont tendance à trouver déconcertant d’avoir recours de manière générale au web.

http://www.conseil-entreprise.org 30 octobre 2009

03/12/2009

Apprendre en dormant.

Le sommeil joue un rôle dans les processus de mémorisation. D'après deux études réalisées par des chercheurs de l'université Northwestern (Illinois) et de Lübeck (Allemagne), des stimulations olfactives ou sonores durant le sommeil profond permettent de renforcer la mémorisation. "Que des bruits puissent participer à un processus de mémorisation est nouveau et intéressant. Ces travaux confortent aussi l'idée que la mémorisation d'une donnée est plus efficace quand on l'associe à une sensation que lorsqu'elle est neutre" estime le professeur Damien Léger (centre du sommeil de l'Hôtel-Dieu, Paris). Mais "Le Figaro" souligne le fait que personne jusqu'à présent n'a pu apprendre une langue étrangère pendant son sommeil avec un CD en fond sonore.

Le Figaro – 02/12/2009

29/11/2009

La Chine rappelle ses cerveaux pour développer l'industrie pharmaceutique

"Pharmaceutiques" consacre un article aux mesures incitatives mises en place par le gouvernement chinois pour faire revenir les chercheurs chinois formés dans les pays occidentaux (surnommés les "sea turtles"), afin de contribuer à développer le secteur pharmaceutique et biomédical dans le pays. En quelques années, de nombreux laboratoires étrangers ont implanté des centres de R & D en Chine. "L'environnement est très propice au développement du secteur pharmaceutique", confirme Franck Jiang, vice-président de la R & D de sanofi-aventis en Chine. L'IMS prédit d'ailleurs que le pays sera le troisième marché pharmaceutique mondial à l'horizon 2030. Franck Jiang est l'un de ces "sea turtles". Il est revenu en Chine pour mettre en place le nouveau centre de recherche de Sanofi à Shanghai, après vingt ans d'une expérience américaine de médecin hospitalier, puis en développement clinique. Il explique que jusqu'ici seuls 10% des scientifiques chinois formés à l'étranger revenaient dans leur pays pour travailler, contre 40% dans d'autres pays. "Mais cette tendance est en train de changer, du brain drain on est passé au brain gain", se félicite-t-il.

Pharmaceutiques - Novembre 2009

28/11/2009

20 ans de droits de l'enfant

Le droit à la vie, le droit de connaître ses parents, de ne pas être séparé d'eux... Le droit au repos, mais aussi celui de jouer : tels sont quelques-uns des droits fondamentaux définis par la Convention internationale des droits de l'Enfant. Un texte de 54 articles qui, depuis son adoption par les Nations-unies le 20 novembre 1989, a été ratifié par la quasi-totalité des Etats du monde, à l'exception notable de la Somalie... et des Etats-Unis. Alors que les droits de l'enfant sont célébrés, à l'occasion

de l'anniversaire de ce texte fondateur, le bilan dans de très nombreux pays du monde reste globalement négatif. En Asie du Sud, avec ses cohortes d'enfants mis au travail à l'âge où d'autres vont à l'école, dans l'Afrique subsaharienne, avec l'image choquante des enfants soldats, trop souvent, l'idée même que les enfants ont des droits relève de la science-fiction. Dans les pays développés eux-mêmes, ces droits sont parfois bafoués. La France, qui avait ratifié la Convention dès 1990, peut paraître loin de ce tableau encore sombre. Signe de son engagement en la matière, elle s'est dotée par une loi du 6 mars 2000 d'une institution spécifique : celle de Défenseur des enfants, ayant statut d'autorité administrative indépendante, lui garantissant le maximum d'autonomie, et qui a précisément pour rôle de "défendre et de promouvoir les droits de l'enfant tels qu'ils ont été définis par la loi ou par un engagement international comme la Convention internationale des droits de l'enfant".

27/11/2009

Web 2.0 : quelle place pour les laboratoires ?

60% des Américains recourent à Internet, et notamment aux forums de discussion, lorsqu'ils sont à la recherche d'une information médicale. Les laboratoires aimeraient investir ce champ de communication avec le grand public, mais la législation reste à définir. La FDA a organisé en novembre une vaste concertation afin de réfléchir à la question, mais l'Agence américaine ne devrait pas proposer une réglementation précise avant la mi-2010. Une échéance trop lointaine, selon les laboratoires, qui estiment que les internautes trouvent de trop nombreuses informations médicales erronées sur le Web. "De nombreux sites consultés par les patients sont mensongers ou truffés d'erreurs. Il n'y a aucun arbitrage de la FDA", critique Rx4good, un groupe de soutien qui aide les entreprises de santé à but non lucratif à trouver des financements. Les groupes pharmaceutiques ont consacré $4 millions en opérations publicitaires en 2008. Seulement 4% de cette somme a été dédiée au support Internet. Les laboratoires craignent que la FDA ne considère les interactions avec les patients sur Internet comme un marketing "off label". La FDA a déjà épinglé une quinzaine de laboratoires en avril dernier, leur reprochant d'omettre les effets secondaires de certains de leurs médicaments dans les liens publicitaires sur Internet. Mais les laboratoires peuvent-ils être également jugés responsables d'une information erronée circulant sur les réseaux sociaux ou les sites collaboratifs, comme Wikipedia ? L'industrie pharmaceutique attend de la FDA qu'elle clarifie cette situation. "Il ne s'agit pas seulement de vendre des médicaments, mais d'être à l'écoute des besoins des patients et de leur donner ce qu'ils attendent", souligne Craig M. Audet, vice-président en charge des Affaires règlementaires de sanofi-aventis aux Etats-Unis.

Business Week - 30/11/09

26/11/2009

La question du stress en entreprise

D'après un sondage Ifop, 52% des salariés français se disent stressés, mais 84% se déclarent aussi satisfaits de leur situation professionnelle. 68% des cadres estiment que l'ambiance générale est bonne dans leur entreprise, mais 77% d'entre eux pensent que leurs objectifs de travail sont irréalistes. Le stress professionnel n'est pas un phénomène nouveau en France, où il est d'ailleurs "très répandu", constate le magazine "Challenges". Les entreprises l'ont cependant longtemps dénié. Aujourd'hui, même si la prévention du stress ne fait pas encore partie des préoccupations stratégiques des entreprises, les mentalités commencent à évoluer. Les créations d'observatoires de santé au travail ou de baromètres sociaux reposant sur des questionnaires se multiplient dans les entreprises. "Challenges" cite notamment l'exemple de sanofi-aventis. "Nous avons des process pour évaluer le niveau de stress des collaborateurs. Nous avons aussi créé des cellules de dialogues et d'écoute", explique Christian Lajoux, qui précise que "la question du stress est tellement complexe" que "nous ne sommes pas à l'abri d'un accident". Un discours prudent qui, selon "Challenges" est "largement répandu dans les directions" des entreprises françaises.

Challenges - 19/11/09

25/11/2009

Le palmarès du Prix Intranet 2009 - Intranet de Dassault primé

A l’occasion de la 12e édition du Prix Intranet, parmi les 33 dossiers reçus, l'intranet de Dassault Systèmes a été primé .

Un réseau social de 8 000 salariés chez Dassault Systèmes

Grâce à son projet d’intranet communautaire 2.0 ouvert aux 8 000 collaborateurs du groupe, personnalisable et doté de toute la richesse des outils du web 2.0, Dassault Systèmes a été primé dans la catégorie “E-learning & KM”. Ce réseau social d’entreprise, initié par les équipes de la communication interne, de la R & D et de l’informatique, et développé en interne, stimule la mise en commun des expertises et l’innovation au sein du groupe. Il modifie profondément la façon d’accéder à l’information et au savoir. Chacun, en alimentant son “profil riche”, y expose ses domaines d’expertise, ses compétences et ses passions. Ainsi, non seulement les salariés se font connaître et forgent leur réputation par les contenus produits, mais ils connaissent également mieux leurs collègues.

L’entreprise passe d’une communication descendante à une communication ascendante, avec l’appui de la direction et de tout le management de l’entreprise ; 300 communautés ont été créées depuis le lancement du site, en février 2009. La plate-forme continue à intégrer, tous les quinze jours, de nouvelles fonctionnalités, et Dassault Systèmes envisage de la faire partager à ses clients et à ses partenaires.

24/11/2009

Le palmarès du Prix Intranet 2009 - Intranet Norsys primé

A l’occasion de la 12e édition du Prix Intranet, parmi les 33 dossiers reçus, l'intranet de Norsys a été primé .

Norsys et son Mappy de la GRH

Dans la catégorie “E-RH et Management”, c’est la SSII Norsys qui a été récompensée pour son intranet Norsysways , un moteur de recherche permettant à ses 185 salariés de simuler leur évolution professionnelle. Grâce à cet outil, sorte de “Mappy de la GRH”, l’entreprise peut prévoir le nombre de personnes qui exerceront un type de métier et anticiper sa stratégie sur le moyen terme, tout en balisant les parcours de ses collaborateurs sur le très court terme.

Norsysways, construit par des développeurs internes, s’appuie sur une cartographie des métiers propre à l’entreprise, sur toute une série de formations sélectionnées et sur des modèles de parcours inspirés des expériences passées de salariés. Managers et RH sont impliqués pour dialoguer avec les salariés et pour les conseiller, et bénéficient d’un véritable outil décisionnel qui leur fait gagner énormément de temps. Depuis fin 2008,19 % des salariés ont évolué dans un même métier et 18 % en ont changé. Norsys réfléchit déjà à offrir davantage d’interactions entre l’outil et la messagerie électronique et le téléphone mobile.

http://www.wk-rh.fr/ 17/11/2009

23/11/2009

Le palmarès du Prix Intranet 2009 : BNF n°1

A l’occasion de la 12e édition du Prix Intranet, parmi les 33 dossiers reçus, la grande majorité des membres du jury a eu un véritable coup de cœur pour le projet de la BNF, dont l’intranet “Biblionautes” a obtenu le Prix Intranet 2009. La démarche d’accessibilité de l’établissement public envers les personnels souffrant de déficience visuelle a été particulièrement appréciée.

La Bibliothèque nationale de France, lauréat 2009 du Prix Intranet !

Le Prix Intranet est organisé par la Cegos, Entreprise & Carrières et lesechos.fr.

Biblionautes pour tous à la BnF

L’intranet de la BnF répond à une problématique croissante des entreprises : comment mieux insérer les personnels handicapés ? L’établissement public, qui met déjà à disposition de ses lecteurs handicapés visuels des équipements spécifiques, a décidé, en 2007, d’adapter son intranet pour que tous ses contenus soient accessibles aux agents souffrant de déficience visuelle.Sur ses 2 800 collaborateurs, 61 sont déclarés en situation de handicap (tous handicaps confondus), soit 2 % des effectifs. La refonte du site, étalée sur dix-neuf mois, pour un lancement en mars 2009, s’est accompagnée de la possibilité, pour tout agent qui en aurait besoin, de doter son poste de travail d’équipement braille, d’un synthétiseur vocal pour le web, ou de logiciels de grossissement de caractères.

Le résultat est un site plus simple à utiliser, avec une palette de couleurs lisible par tous, et doté de différents dispositifs pour faciliter la navigation des personnes utilisant des logiciels de synthèse vocale. Et toute la refonte a été gérée en interne par la mission de communication interne, le service de coordination Internet et la mission handicap. Seule la prestation concernant les couleurs du site a été confiée à une entreprise extérieure.

http://www.wk-rh.fr/ 17/11/2009

20/11/2009

Collaboration 2.0. la relève après le Web 2.0

Au cours de la présentation d'introduction, James Lundy, Analyste au Gartner Group expliquait que sa société venait juste d'ajouter une nouvelle catégorie, la Génération 4, à son schéma de l'évolution des pratiques collaboratives sur le net. Les blogues et les wiki sont déjà du passé, on est maintenant à la collaboration en temps réel et à son agrégation dans les applications. « La messagerie instantanée reste une préoccupation majeure, dit-il, et nous voyons que la situation est très confuse en ce moment dans les grandes entreprises et les organisations qui se posent la question de leur stratégie de collaboration en temps reel. La plupart ne sait pas quoi faire. C'est une intense bataille et beaucoup de responsables ne le comprennent même pas. » Il explique que moins de 40% des grandes entreprises a mis en place une stratégie de collaboration en temps réel. « Si quelqu'un dans l'entreprise utilise un service gratuit de messagerie instantanée, il s'expose…. !! ». Parlant de la Génération 3, le web social qui a suscité beaucoup de nouveaux services et de nouvelles sociétés, notamment dans la Silicon Valley, il constaté que le buzz suscite encore beaucoup d'interrogation et de confusion. « Voulez vous facebook dans l'entreprise ? » interroge-t-il, « Comment pouvons-nous apprendre à nos employés comment ne pas faire les mauvais trucs sur Facebook ? »

Lire l'article complet sur "Collaboration 2.0. la relève après le Web 2.0"...

19/11/2009

Twitter : un nouveau bouton pour retweeter!

Twitter est actuellement est travaux pour lancer une nouvelle fonctionnalité très attendue, le fameux bouton de « retweet »! L'avantage c'est que désormais il n'y aura plus besoin d'indiquer dans ses tweets « RT » ou « ReTweet », l'auteur original étant cité en dessous du message. Un bon moyen d'économiser quelques caractères dans cette application en ligne qui ne permet d'en utiliser uniquement 140…

18/11/2009

VIVOweb : un FaceBook pour les chercheurs

Les "National Institutes of Health" (NIH) vont financer le développement d'un réseau social professionnel à destination des scientifiques dont le but est d'améliorer les collaborations en recherche biomédicale, et d'accélérer les découvertes. Sept universités vont recevoir 12.2 millions de dollars pour mettre en place ce réseau appelé "VIVOweb", destiné à être étendu par
la suite au reste des Etats-Unis.

Le réseau "VIVOweb" basé sur la technologie "VIVO", développée à l'Université Cornell (New York) depuis 2003, vise à améliorer significativement l'exploitation des informations scientifiques, à comparer les recherches en cours dans d'autres institutions de recherche, à renforcer les collaborations en recherche translationnelle, et à faciliter les recherches multidisciplinaires.

Lire l'article complet sur VIVOweb, accélérateur de découvertes

17/11/2009

Facebook vieillit, Twitter rajeunit

En mai 2008, l'âge médian sur Facebook était de 26 ans, aujourd'hui, il est de 33, soit 8 ans de plus en un peu plus d'une année.

Alors, où sont les jeunes ? Toujours sur Facebook, rassurez-vous, mais ils y côtoient désormais beaucoup d'adultes, dont leurs parents, leurs grands parents et leurs patrons, mais on les trouve de plus en plus sur une autre star de l'internet : Twitter.

Au final, la génération Y aime Twitter… en tout cas, elle commence à l'utiliser.

On ne compte plus les études sur la population de Twitter, certaines sérieuses, d'autres moins, qui martèlent toutes le même message : la génération Y ne s'intéresse pas à Twitter. Les études citent généralement d'éminents membres de cette génération affirmant que Twitter est "futile"
et "narcissique".

Apparemment, tout cela est en train de changer, pas forcément en terme de perception, mais en tout cas en terme d'usages.

Twitter est désormais second sur le podium des réseaux sociaux mondiaux les plus jeunes, avec un âge médian de 31 ans, juste derrière MySpace qui affiche 26 ans, et devant Facebook qui affiche 33 ans et Linkedin et ses 39 ans.

En regardant de près les segments démographiques 'jeunes' de Twitter, il n'y a pas que la génération Y qui est responsable de ce coup de jeune, loin de là. 37% des 18-24 ans utilisent désormais Twitter aux US, alors qu'ils n'étaient que 19% en décembre dernier, et chez les plus vieux des jeunes, le 25-34 ans, 31% sont désormais utilisateurs, en augmentation de 11 points par rapport à l'an dernier. Ces deux groupes d'âge, à eux seuls, représentent désormais près de la moitié des utilisateurs de Twitter.

Réseaux sociaux et générations : lire l'article complet...

16/11/2009

Communication interne - Le Web 2.0 pour séduire les jeunes salariés

La communication auprès des plus jeunes collaborateurs passera par des supports interactifs intégrant des technologies Web 2.0. Un éditeur en fait le pari.

Dans les grandes entreprises, le simple affichage mural pour sensibiliser son personnel aux consignes de sécurité ou aux économies d'énergie dans les bureaux est souvent peu efficace. Surtout quand il s'agit de communiquer auprès des jeunes générations habituées aux jeux vidéos et aux réseaux sociaux. C'est du moins le constat de Conscio Technologies, un éditeur de logiciels de sensibilisation et spécialiste des "Serious Game". Fort de son expertise, ce dernier a eu l'idée d'intégrer des fonctionnalités de type Facebook dans la nouvelle version de sa plate-forme collaborative "Sensiwave".

Disponible en mode SaaS [Software as a Service] et destinée aux campagnes de sensibilisation en ligne, cette application riche de supports interactifs se différencie de ses concurrents par une interface ludique et conviviale. L'éditeur, qui fournit ses solutions notamment à certaines entreprises du CAC 40, invite les utilisateurs à lancer des sondages, poster un commentaires ou encore créer des fils de discussion. En retour, les salariés peuvent laisser un commentaire dans une saynète, un quiz ou un portail. Du côté de l'entreprise, cette dernière dispose d'une fonction de modération. A chaque insertion d’un commentaire, le modérateur est automatiquement prévenu et devra accepter ou refuser le commentaire publié. Les animateurs ont également l'opportunité d'inviter les utilisateurs à raconter une anecdote sur le thème de la campagne. Rien de tel pour mobiliser les troupes.

commentcamarche.net 13/11/2009

14/11/2009

5ème Forum des pôles de compétitivité

Lors du 5ème Forum des pôles de compétitivité, qui vient de s'achever à Sofia-Antipolis, Pierre Dartout, délégué à l'aménagement du territoire, a considéré que "pour atteindre la masse critique qui est garante de l'attractivité internationale, les pôles de compétitivité français doivent être impérativement des acteurs moteurs dans la création de réseaux de 'clusters' en Europe". Les participants de ce forum ont estimé en conclusion que "l'innovation se développe mieux quand elle s'inscrit dans une dimension internationale". La commission européenne met en place actuellement un observatoire des "clusters" qui établira des cartographies et fournira des données économiques et sociales. Elle a l'intention d'aider à la formation de "cluster manager", et prévoit la création d'un club de ces managers "à l'échelle européenne pour favoriser les échanges de bonnes pratiques".

Les Echos - 09/11/09

12/11/2009

Quelques lois mathématiques et empiriques qui accompagnent notre vie...

La loi de pareto
On appelle cela la règle des 80/20 également où environ 80 % des effets est le produit de 20 % des causes. Cette loi est ma préférée car elle permet d’être efficace dans la vie, effectivement en 20% du temps on obtient 80% des résultats. Bien sûr elle peut s’appliquer dans diverse situations de la vie de tous les jours. Pour twitter par exemple, 20% des utilisateurs devrait sûrement twitter 80% des twitts.

La loi de Stein
Quelle belle loi que la loi de Stein, qui dit que “Si un phénomène ne peut continuer indéfiniment, il s’arrêtera.” Pour les optimistes, c’est ainsi qu’on voit et on veut voir le bout du tunnel, ce peut être ce à quoi on assiste aujourd’hui car tout le monde voudrait bien que la crise s’arrête enfin. Et bien sûr pour les pessimistes, le bonheur a toujours un fin et c’est bien connu! .

Le nombre de Dumbar
Cette loi m’a été suggérée par Jean Boucher elle est également très pragmatique. Elle précise la limite du nombre d’amis avec lesquels une personne peut entretenir une relation stable à un moment donné de sa vie. Cette limite est inhérente à la taille de notre néocortex. Elle est estimée à 148 personnes.

Loi de Hofstadter
Pour ceux qui font de la gestion projet, j’espère qu’ils connaissent cette loi. La loi de Hofstadter déclare que « Ça prend toujours plus de temps qu’on croit, même en prenant en compte la loi de Hofstadter. » Là encore c’est très pragmatique, mais si vous êtes chef de projet, il faut toujours avoir cette loi en tête, surtout au début d’un projet où on est toujours très optimiste quant aux dates de réalisation. Cela va également de pair avec l’élaboration de business plan qui sont toujours ultra optimistes dans les projections. Un vieux renard aura toujours cela en tête.

11/11/2009

Les réseaux sociaux tissent des liens bien réels : quelques chiffres

Voici quelques chiffres de l'étude menée au mois de juillet-août auprès de 2512 adultes américains. C'est surprenant, n'est-ce pas ? Auriez-vous imaginé que les réseaux sociaux aient autant d'impact sur nos comportements et nos habitudes ?

- l'usage des technologies élargit le cercle de conversation : de 12% pour les utilisateurs de mobile, 9% pour qui partage des photos en ligne ou utilise une messagerie instantanée

- les technologies n'ont pas remplacé le contact en face à face : pour communiquer avec le coeur de son réseau, le contact en direct reste le premier moyen de communication (210 jours par an) devant le téléphone mobile (195 j), le SMS (165), e-mail (72 jours) et les réseaux sociaux (39 j)

- les réseaux sociaux servent à resserer les liens avec des gens déjà proches : 71% des utilisateurs de réseaux sociaux ont ajouté une personne très proche comme ami sur Facebook et al. 30% des 18-22 ans utilisent désormais les réseaux sociaux pour rester en contact avec 90% de leur entourage le plus proche

- Internet ne casse pas le lien local... : surfer sur le Web vous rend à peu près aussi susceptible d'aller visiter votre voisin ou pas

... les réseaux sociaux, un peu : être sur Facebook / MySpace / LinkedIn diminue de 30% la probabilité de connaître ses voisins

... mais interagir avec ses voisins via Internet augmente les chances de connaître "presque tout" d'eux (60% vs 40% sans le net)

- le réseau des internautes membres de réseaux sociaux est en moyenne 20% plus diversifié que les personnes qui ne surfent pas sur Internet

- les utilisateurs de mobile (72%), les internautes assidus (46%) et les bloggers (72%) ont plus de chances d'appartenir à un groupe volontaire local, association, club de sport, communauté religieuse ou club social que le reste de la population

Au rayon des corrélations plus surprenantes :

- les internautes qui partagent des photos en ligne ont 61% plus de chances de discuter avec des personnes d'un bord politique opposé

- tenir un blog augmente de 95% les chances de se confier à quelqu'un d'origine(s) ethnique(s) opposées

- être internaute augmente de 42% les chances d'aller dans un parc public. Etre blogger augmente cette probabilité de 61%

- les membres de réseaux sociaux ont 40% plus de chances d'aller dans un bar


Lire l'article complet : Les réseaux sociaux tissent des liens bien réels


blog.lefigaro.fr 5 novembre 2009

10/11/2009

En cours les bavardages sont autorisés, mais sur réseaux sociaux !

L'utilisation des réseaux sociaux pendant les cours améliore l'attention et la participation de l'élève. Le cours devient collaboratif. L'élève est actif, moins passif en tous cas. Il s'implique davantage. Ses questions sont pertinentes. Le cours est mieux assimilé.

Hotseat intègre en temps réel les commentaires écrits par les élèves sur le cours sur le site ou leur compte Twitter ou Facebook. Cette méthode améliore la participation en classe et la collaboration entre élèves.

L'université de Purdue s'inspire de l'initiative de son homologue viennoise, qui propose aux élèves de faire des commentaires sur la qualité des cours. C'est ainsi qu'a été développée Hotseat, une application de micro-blogging qui accueille les commentaires rédigés par les étudiants durant le cours et concernant le sujet traité. Ces messages sont visibles par toute la classe, y compris par les professeurs. Pour ce faire, les élèves postent leurs commentaires sur le site Internet dédié, ou via leur compte Facebook, MySpace ou Twitter. Le tout, depuis un ordinateur ou un mobile.

Pousser à la participation

Hotseat comprend également un système de vote pour les réactions que les pupilles trouvent les plus intéressantes. Le but étant de rendre les cours plus collaboratifs. Le professeur peut ainsi constater presque en temps réel l'assimilation de son cours, et en ajuster le contenu. D'après les chercheurs, cette méthode est moins intimidante que de poser ou répondre à des questions à main levée. "Les étudiants interagissent sur une plate-forme avec laquelle ils sont déjà familiarisés", affirme Sugato Chakravarty, professeur à l'université de Purdue et utilisateur de la plate-forme.

Maîtriser le 2.0

Les premiers essais révèlent qu'environ les trois quarts des étudiants observés ont utilisé activement le logiciel afin de participer au cours. "Avec ce système ils s'engagent dans le sujet traité sans trop en déborder", constate Sugato Chakravarty. "Et pour la plupart il posent des questions plutôt pertinentes". Le chercheur prévient tout de même que la nature 2.0 du service redéfinit les limites de ce qu'un professeur peut ou ne pas contrôler dans son cours. Il ajoute : "même si la méthode s'est montrée efficace, elle demande pour le moment une certaine ouverture d'esprit de la part des professeurs".

atelier.fr 03 Novembre 2009

09/11/2009

Les nouvelles technologies favorisent le lien social

C'est vrai qu'en observant les gens "scotchés" sur leur ordinateur pendant des heures, on pourrait facilement imaginer qu'ils s'isolent et deviennent asociaux. En fait cela dépend de leur activité sur l'ordinateur. Comme le montre une étude réalisée l'été dernier, ceux qui surfent et sont en contact avec d'autres internautes sur les réseaux sociaux auraient une vie relationnelle plus riche.
Contrairement à une idée largement répandue, internet et les téléphones portables n'isolent pas les gens mais renforcent au contraire le lien social, si l'on en croit les résultats d'une étude américaine.
Alors que des sociologues américains affirmaient dans une étude publiée en 2006 que les nouvelles technologies accentuaient l'isolement social des Américains, cette enquête aboutit à la conclusion inverse.
Les données recueillies montrent en effet que les utilisateurs de portables et les internautes disposent d'un réseau de personnes avec lesquelles discuter plus vaste et surtout plus diversifié que les individus moins férus de nouvelles technologies.
"L'utilisation d'internet en général et la fréquentation en particulier de réseaux sociaux comme Facebook montrent une sociabilisation plus diversifiée", notent les chercheurs dans un communiqué.
Ces relations parfois virtuelles ne se font pas au détriment de l'implication dans le monde réel, puisque qu'un internaute se révèle tout aussi capable de rendre visite à ses voisins ou de participer à des activités au niveau local que le reste de la population.
Les utilisateurs de téléphones portables, les personnes utilisant fréquemment internet sur leur lieu de travail et les blogueurs sont même plus susceptibles que les autres d'exercer une activité bénévole dans une association locale, d'après les résultats de cette étude.
Les enquêteurs ont par ailleurs constaté que 6% des adultes américains n'avaient personne avec qui discuter de sujets importants, une proportion comparable à celle observée en 1985.
Selon les auteurs, les résultats de ce sondage suggèrent qu'il faudrait percevoir les nouvelles technologies comme un moyen d'enrichir leur vie plutôt qu'une menace qui risque de les enfoncer dans une "spirale d'isolement".
Ce sondage a été réalisé auprès de 2.512 adultes en juillet et août dernier par Princeton Survey Research International pour l'organisation de recherche à but non lucratif Pew Internet and American Life Project.
Lepoint.fr 06/11/2009

Les réseaux sociaux en quelques chiffres
Facebook et l'amitié en réseau - Cerveau et Psycho

08/11/2009

Risques "psychosociaux" : 40 indicateurs

40 indicateurs pour mieux cerner les risques "psychosociaux" du stress au travail. Les auteurs du rapport sur les "risques du stress au travail", demandé par le ministère du Travail, sont une vingtaine de sociologues, médecins, psychiatres, statisticiens et économistes. Ils s'appuient sur des études scientifiques et plusieurs enquêtes nationales réalisées en 2003, 2005 et 2007 auprès des salariés. Selon le rapport provisoire, les risques psychosociaux (stress, dépression, anxiété) peuvent entraîner "un accroissement" du risque de maladies cardiovasculaires, de problèmes de santé mentale et de troubles musculo-squelettiques. Chargés "de formuler des propositions en vue d'un suivi statistique des risques psychosociaux au travail", les experts ont déterminé 40 "indicateurs provisoires"."Chacun de ces indicateurs est pertinent, mais ils ne donnent pas encore une vue exhaustive et synthétique des risques psychosociaux au travail", indique Michel Gollac, sociologue et administrateur de l'Insee, mais aussi président du groupe d'experts. Ces indicateurs sont regroupés en six catégories : exigences du travail, charge émotionnelle, autonomie et marges de manoeuvre rapports sociaux et relations de travail, conflits de valeur et insécurité socio-économique. La version définitive du rapport est prévue
à l'automne 2010.

07/11/2009

France : La Scientologie a-t-elle infiltré la commission des Lois de l'Assemblée nationale ?

La Scientologie a-t-elle pu infiltrer la commission des Lois de l'Assemblée nationale ? "Une hypothèse grotesque !" s'emporte Patrick Maisonneuve. Pour en avoir le coeur net, l'Assemblée et la Chancellerie ont diligenté chacune une enquête. Le parcours du texte a été minutieusement décortiqué. "J 'ai tout passé au tamis, l'erreur s'est produite ici, à l'Assemblée, lors de l'un des multiples allers et retours avec la Chancellerie, assure au Point Bernard Accoyer. J'ai identifié l'auteur de la boulette. C'est un administrateur dévoué, au-dessus de tout soupçon. Il a reconnu son erreur et en est profondément affecté ." Un administrateur que Le Point a identifié mais qui n'a pas souhaité faire de commentaire. Il s'agirait donc d'une simple erreur matérielle, un malencontreux "copier-coller sur un texte de 700 pages", dixit le président de l'Assemblée. Sauf que, lorsqu'on se penche sur ledit texte, le changement de formulation saute aux yeux. Alors que le libellé initial évoque "les peines prévues par l'article 131-39", en clair des peines numérotées de 1 à 9 qui peuvent être prononcées en plus de l'amende, on lit désormais "les peines prévues de 2 à 9 de l'article 131-39 ". Ce qui signifie que la peine 1, celle de la dissolution, a été gommée volontairement. "Je suis indigné, je demande une enquête approfondie. S'il le faut, j'engagerai des poursuites pour connaître la vérité", martèle Me Olivier Morice.

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lepoint.fr 27/10/2009

06/11/2009

Collaboration en entreprise : l'e-mail privilégié face aux outils web 2.0

« Pour les professionnels en entreprise, l'heure est plus que jamais à la collaboration », note Forrester Consulting dans une nouvelle étude réalisée pour le compte d'Adobe sur les modes de collaboration en entreprise. Cette nouvelle étude menée auprès de 700 Américains en septembre 2009 fait suite à la précédente qui se concentrait sur le continent européen à travers 3000 interviews.

Il en résulte que, des deux côtés de l'Atlantique, les attentes des professionnels en matière de collaboration sont assez similaires, tout comme les usages des principaux outils. Lesquels restent relativement traditionnels. Ainsi, 77 % des Américains et 78 % des Européens utilisent la messagerie électronique au détriment des nouvelles formes de communication que mettent en œuvre blogs, wikis et autres réseaux sociaux. L'utilisation des pièces jointes dans les courriels est respectivement choisie par 77 % et 76 % des collaborateur.

Mais cette méthode est loin d'être satisfaisante. A commencer par la compatibilité entre le format du document envoyé en pièce jointe et le logiciel de lecture de son destinataire. Respectivement 61 % des Américains et 56 % des Européens se disent concernés par les problèmes de versions logicielles. L'impossibilité de savoir si le sens du message a été bien perçu touche respectivement 36 % et 38 % des sondés. Enfin, 31 % et 37 % des salariés semblent visiblement concernés par l'impossibilité de ne pas pouvoir contrôler la diffusion de leur communication.

Quant aux outils de collaboration de type Web 2.0, leurs utilisations est la suivante : les wikis sont prisés par 2 % des Américains et 1 % des Européens, les blogs par, respectivement, 3 % et 2 % des salariés. Les réseaux sociaux exercent un pouvoir plus attractif et touchent 5 % des collaborateurs sur les deux continents. La popularité de Facebook, mais aussi celles de plates-formes à caractère plus professionnelles telles que LinkedIn ou Viadeo, n'étant probablement pas étrangères au relatif succès des plates-formes sociales. En fait, « ces outils restent l'apanage des jeunes », précise Forrester.

Outre leur prise en main, les outils de collaboration web 2.0 rencontrent plusieurs obstacles de taille. A commencer par le choix des outils en eux mêmes. Ainsi, aux Etats-Unis, 59 % des utilisateurs ne sélectionnent pas les mêmes outils. L'usage et l'efficacité pèsent également dans les résultats : 32 % des utilisateurs estiment que les outils web 2.0 compliquent leur tâche, et 24 % affirment confronter au problématiques de compatibilité.

Enfin, les problèmes de sécurité font également obstacle au travail collaboratif. Aux Etats-Unis comme en Europe, la protection des données sensibles de l'entreprise et de sa propriété intellectuelle compte parmi les priorités absolues pour 89 % des sondés. Cependant, seuls 17 % des Américains, contre 70 % (!!!) des Européens, se disent satisfaits des protections logicielles existantes. Même s'ils font appels à elles dans 59 % et 53 % des cas respectivement.

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05/11/2009

Internet a 40 ans

Né Arpanet à la fin des années 60 autour d'un projet militaire, Internet doit sa démocratisation à l'arrivée du Web dans les années 90.

L'histoire d'Internet commence par un échec. Le 29 octobre 1969, lorsque des étudiants de l'université de Californie Los Angeles (UCLA) tente de se connecter à un ordinateur de l'Institut de Recherche de Stanford en tapant « login », seuls les deux premiers caractères, « lo », sont transmis. La deuxième tentative sera la bonne.

Elle valide une précédente expérience, locale cette fois dans les locaux de l'UCLA, qui avait ermis de relier deux « calculateurs » (les ordinateurs personnels étaient encore de la science fiction). Fin novembre, la connexion entre les machines de l'UCLA et Stanford devient permanente et le 5 décembre 1969, des machines des universités de Santa Barbara et de l'Utah viennent s'y greffer pour former Arpanet, l'ancêtre d'Internet.

Arpanet était financé par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), une agence du ministère de la Défense américaine chargée de développement de nouvelles technologies militaires. Le projet, supervisé par le professeur Leonard Kleinrock de l'Ucla, visait à construire un réseau de communications informatique décentralisé et économique afin de maintenir la liaison des principaux commandements du pays. Le mythe voudrait que ce réseau puisse résister à une éventuelle attaque massive des centres de communication du pays par l'URSS, la guerre froide entretenant la peur des attaques nucléaires.

La micro-informatique se démocratisant dans les foyers, les développements de services en ligne n'ont cessé de se multiplier. Aujourd'hui, les Facebook, Twitter, MySpace, Yahoo, Google, Ebay, Wikipedia, le P2P, les blogs, la messagerie instantanée, l'e-mail, etc., animent aujourd'hui le web
auprès d'1,6 milliard d'internautes dans le monde. Et ce n'est qu'un (bon) début. Selon les propos de Leonard Kleinrock recueillis par l'AFP, «la prochaine étape, c'est de faire entrer [Internet] dans la vraie vie».


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04/11/2009

La crise accélère l'usage du web 2.0 en entreprise

Si les budgets en webmarketing BtoB sont relativement plus modestes en France qu'au-delà de ses frontières, les entreprises de l'Hexagone comme leurs voisines investissent davantage dans les techniques du marketing 2.0. La crise mondiale n'est qu'un catalyseur de ce phénomène, souligne une étude internationale menée par le Benchmark Group. Sur les 112 entreprises sondées dans sept pays, 23% avouent que la conjoncture ne fait qu'accélérer un processus déjà enclenché depuis plusieurs années, qui vise à modifier en profondeur les relations entre les marques et les consommateurs. Pour près d'un tiers des sociétés, les budgets se portent sur les vecteurs Internet offrant une visibilité précise sur le ROI.

Blogs et sites interactifs plutot que micro-blogging

Un tiers des services marketing BtoB ont ainsi déjà mis en place des sites en web 2.0 avec des plateformes de partage de contenus (Youtube, DailyMotion...) ou simplement des sites interactifs auprès de communautés (forums, blogs...). Et cette proportion devrait doubler en 2010. En revanche, le micro-blogging (type Twitter) semble avoir atteint un plafond en ce qui concerne les responsables marketing. Déjà utilisé par 20% des entreprises, ce type de services n'a attiré que 5% des sociétés qui ne l'avaient pas déjà adopté. Les mondes virtuels, eux, semblent devenus sans intérêt pour les services marketing interrogés : aucune ne prévoit d'investir dans les Second Life et autres métaverses peuplés d'avatars.

Des réticences quant aux coûts

Malgré cet engouement pour le webmarketing participatif, certaines sociétés s'interrogent encore sur l'usage de ces sites en raison du surcoût, selon elles, engendré par l'animation et la modération de ces environnements (pour 71% des entreprises françaises). Les technologies du web 2.0, vantées comme des instruments de dialogues entre entreprises et consommateurs, sont détournées de leur origine. Une grande majorité des sociétés interrogées avouent que ces environnements servent essentiellement à améliorer l'image de marque de l'entreprise et à drainer davantage de trafic. Cependant, 19% d'entre elles utilisent le web 2.0 pour intégrer le consommateur aux décisions.

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lemondeinformatique.fr 22/10/2009

03/11/2009

Nouveauté : La psychologie est un jeu - Chez LIBRIO

J'ai le plaisir de vous présenter un nouveau titre dans la collection "...est un jeu" chez LIBRIO, collection dirigée par mon cousin Pierre Jaskarzec.

La psychologie est un jeu

Tu vois ? Oui, j'entends bien !


Toute la collection LIBRIO "...est un jeu"




Présentation de l'éditeur

Que mesurent exactement les tests de QI? Est-il vrai que tout se joue avant l'âge de 6 ans? Etes-vous certain que rien n'influence vos jugements? Etes-vous parfois victime de l'a effet projecteur "? Si vous vous passionnez pour les comportements humains, ce livre est pour vous! Au travers de jeux, de tests, de récits d'expériences, le psychologue Serge Ciccotti nous confronte à nous-même en démontant les mécanismes qui influencent nos jugements et nos manières d'être. Perceptions, raisonnements, émotions, sexualité sont ainsi passés au crible des recherches scientifiques les plus récentes. Vous irez de surprise en découverte dans le vaste champ de la psychologie humaine... Un livre pour mieux se connaître - et mieux comprendre les autres - sans avoir à s'allonger chaque semaine sur un divan!

Biographie de l'auteur

Docteur en psychologie et chercheur associé à l'université de Bretagne-Sud, Serge Ciccotti a déjà publié plusieurs ouvrages à succès.



02/11/2009

En 2010, les adresses web s'écriront dans tous les alphabets

A partir de 2010, les pays pourront créer les extensions des adresses web, en chinois, en arabe, en hindi, en cyrillique… Et non plus seulement dans l'alphabet latin.

L'occident va-t-il perdre le contrôle du web ? Les adresses internet vont désormais pouvoir être rédigées en chinois, en arabe, en hindi, en cyrillique… Réunie à Séoul, l'ICANN (organisme américain chargé de la régulation d'internet) a officialisé vendredi l'introduction des «noms de domaines internationalisés». Pour l'instant, ils étaient limités à 37 caractères et limités à l'alphabet latin : de A à Z, de 0 à 9 plus le trait d'union.

En 2010 devraient apparaître les premiers suffixes (.fr, .it, etc.) écrits en hébreu , en japonais, ou en arabe. «C'est le plus grand changement technique sur internet depuis son invention il y a 40 ans» exulte Peter Dengate Thrush, le président du conseil d'administration de l'ICANN.

800 millions d'internautes concernés

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01/11/2009

Des fleurs pour chaque émotion

31/10/2009

La collaboration d'entreprise ne passe pas que par le 2.0

Pour une intégration harmonieuse des wikis et réseaux sociaux en entreprise, il est important de ne pas vouloir les substituer à toutes les autres formes de travail. C'est leur combinaison qui améliorera la productivité. Si l'on en croit l'institut Gartner, ce ne sont pas moins de 80 % des plates-formes de travail collaboratif en entreprise qui intègreront des outils type wiki, réseaux sociaux ou flux RSS en 2013. Une bonne nouvelle pour les défenseurs du 2.0 dans le monde professionnel. Mais le cabinet rappelle que pour une adoption réussie de ces solutions de travail, il faudra surmonter un obstacle : réussir le passage d'une collaboration basée sur la transmission de fichiers ou de documents à une autre qui propose d'agir sur le contenu et d'interagir directement avec ses collaborateurs depuis le web. Et pour y parvenir, le cabinet recommande de ne pas oublier que l'adoption de wikis et réseaux sociaux ne doivent pas mettre au rebus les solutions de partage plus traditionnelles.

Des solutions hybrides

Il y a des différences fondamentales entre ces deux modes de travail", note Jeff Mann. "Le comprendre et savoir les combiner déterminera le succès d'une plate-forme collaborative orientée 2.0 en entreprise". Le cabinet rappelle ainsi que pour certaines tâches, les systèmes de partage et de travail sur le document restent plus productifs que ceux basés sur les wikis. Il en est ainsi des processus de type workflow ou lorsque le produit final concerne la création d'un fichier. Pour faciliter l'utilisation de solutions 2.0, le cabinet met du coup en avant des produits hybrides comme Google Apps, Adobe buzzword ou Zoho. Ces derniers proposent à la fois des solutions Web 2.0 et des versions pour effectuer un travail hors ligne.

Choisir la bonne méthode

Autre impératif : le cabinet rappelle l'importance de s'adapter à l'utilisateur. C'est-à-dire que les entreprises doivent s'intéresser aux méthodes de travail de prédilection de leurs salariés. En fonction des stratégies, certaines solutions collaboratives seront plus faciles à mettre en œuvre pour des employés habitués aux formes de travail dites classiques, comme l’échange de documents par email. "Les utilisateurs qui ont pour habitude de travailler sur des outils PC comme Microsoft Office se sentent parfois mal à l'aise dans un environnement interactif ", explique Jeff Mann, vice-président du Gartner. "Car tout le monde peut éditer la même la page au même moment ".

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http://www.atelier.fr/ 29 Octobre 2009

30/10/2009

"Chagrin d'école" de Daniel Pennac

"Réactionnaire, la dictée ? Inopérante en tout cas, si elle est pratiquée par un esprit paresseux qui se contente de défalquer des points dans le seul but de décréter le niveau ! Avilissante, la notation ? Certes, quand elle ressemble à cette cérémonie, vue il y a peu à la télévision, d'un professeur rendant leurs copies à ses élèves, chaque devoir lâché devant chaque criminel comme un verdict annoncé, le visage du professeur irradiant la fureur et ses commentaires vouant tous ces bons à rien à l'ignorance définitive et au chômage perpétuel. Mon dieu, le silence haineux de cette classe ! Cette réciprocité manifeste du mépris !

J'ai toujours conçu la dictée comme un rendez-vous complet avec langue. La langue telle qu'elle sonne, telle qu'elle raconte, telle qu'elle raisonne, la langue telle qu'elle s'écrit et se construit, le sens tel qu'il se précise par l'exercice méticuleux de la correction. Car il n'y a pas d'autre but à la correction d'une dictée que l'accès au sens exact du texte, à l'esprit de la grammaire, à l'ampleur des mots. Si la note doit mesurer quelque chose, c'est la distance parcourue par l'intéressé sur le chemin de cette compréhension."




Un grand merci Daniel pour ce partage, pour le plaisir de vous lire, pour les émotions, pour les rires, pour les larmes... Un grand merci pour tous ceux dont le parcours fut sinueux, pour toutes ces hirondelles déviantes, néanmoins rescapées... Gràce à vous !

"Chagrin d'école" à lire et à relire pour le plaisir, pour apprendre et pour le plaisir d'apprendre ! A lire avec "le droit de sauter des pages, le droit de relire, le droit de lire n'importe où, le droit de lire à voix haute..." Juste pour le plaisir.

29/10/2009

Les collégiens les moins populaires seront les meilleurs clients de l'hopital

"Moins un enfant est populaire au collège, plus il a de risque de tomber malade une fois adulte". C'est la conclusion d'une équipe de chercheurs de l'université de Stockholm, qui a mis en perspective les résultats d'une enquête menée en 1966 auprès de 12 000 collégiens et les registres des hôpitaux suédois de 1973 à 2003. Sur les 12 000 répondants à l'étude de 1966, ceux qui à l'âge adulte ont été le plus souvent admis à l'hôpital (notamment pour des maladies mentales ou suite à des comportements à risques), figuraient parmi les élèves les moins populaires. Une fois adultes, les enfants les moins populaires auront cinq à neuf fois plus de risques de développer une maladie cardiovasculaire, et quatre fois plus de risques d'être atteints de diabète. Le risque toxicomaniaque serait aussi trois fois plus élevé dans ce groupe de personnes, et le risque suicidaire quatre fois plus. D'après les chercheurs, c'est un manque de confiance en soi consécutif à l'impopularité au collège qui motiverait un style de vie pouvant avoir un impact sur la santé, comme une consommation excessive d'alcool ou de tabac.

Libération - 27/10/09

28/10/2009

La vie !

27/10/2009

Mieux vaut être un loup qu'un loser ?

Selon des croyances très répandues, le milieu professionnel étant ce qu'il est, il est essentiel de ne pas se laisser marcher sur les pieds, de garder l'oeil ouvert car toute personne qui vous fait une fleur attend quelque chose en retour et toute gentillesse est le signe de faiblesse d'un loser patenté dont tout le monde peut profiter à loisir. Pour survivre dans ce monde impitoyable, l'Homme étant un loup pour l'Homme, il faudrait ne compter que sur soi-même, se méfier de son prochain et marcher sur la tête de tous pour s'approcher du Graal de la réussite.

Et c'est vrai. Car plus nous adhérons à ces idées, plus nous agissons dans leur sens, leur permettant ainsi de devenir de plus en plus vraies, à mesure que nous créons les situations qui leur correspondent. Bref, nous sommes tous plus ou moins les agents obscurs responsables des ambiances de travail nauséabondes dans lesquelles nous évoluons, génératrices de stress, avec l'impact qu'on lui connaît que la santé.

Réhabiliter la bienveillance

Or, diverses études ont démontré les bienfaits multiples de comportements tels que la bienveillance, la gentillesse, l'optimisme, la générosité, la reconnaissance, l'écoute, sur les relations mais aussi et surtout sur notre santé physique et morale.

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Blog d'Ithaque, Sylvaine Pascual

26/10/2009

Les sectes jouent la carte des médecines parallèles

L'Union nationale des familles et de l'individu victimes des sectes (Unadfi), première association française de lutte contre les sectes, a tenu à l'Assemblée nationale un colloque sur les nombreuses dérives constatées dans le domaine des médecines alternatives. Malades et médecins sont visés par les sectes, qui misent sur la détresse des premiers, et le souci humaniste des seconds.

Marcel-Francis Kahn, professeur de rhumatologie à l'hôpital Bichat, est intervenu dans le cadre de ce colloque, pour souligner que "les sectes et les médecines non orthodoxes vivent des insuffisances, des impossibilités et des imperfections de la médecine actuelle". Ce spécialiste distingue deux types de charlatans : les "exploiteurs", dont le seul objectif est de faire de l'argent, et les "idéologues", encore "plus dangereux" que les exploiteurs, qui se targuent d'une "approche holistique" de l'être humain. "Aujourd'hui en France" rappelle par ailleurs qu'un groupe de travail a été mis en place début 2009 par la DGS. Composé de médecins, d'experts judiciaires et de policiers, ce groupe est chargé de distinguer les véritables techniques de médecines alternatives des dérives sectaires qui en prennent l'apparence.

Aujourd'hui en France – 16/10/2009

Lire le dossier sur les Sectes sur "Stratagemme la Vie !"...

UNADFI : Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l'Individu Victimes des Sectes http://www.unadfi.org/



25/10/2009

Nouveauté : L'histoire de l'art est un jeu - Chez LIBRIO

J'ai le plaisir de vous présenter un nouveau titre dans la collection "...est un jeu" chez LIBRIO, collection dirigée par mon cousin Pierre Jaskarzec.

L'histoire de l'art est un jeu

Il était une fois...

Toute la collection LIBRIO "...est un jeu"


Présentation de l'éditeur

Saviez-vous que les hommes préhistoriques étaient des artistes ? Connaissez-vous Leonardo, Michelangelo et Donatello ? Pourquoi le style rococo fait-il penser à de la pâtisserie ? Comment Marcel Duchamp a-t-il élevé au rang d'oeuvre d'art... un urinoir ? Vous êtes intrigué par l'histoire de l'art mais intimidé par les musées ou les livres trop volumineux ? A travers des jeux et des questions, et grâce à de nombreuses illustrations, cet ouvrage vous propose un panorama de l'art occidental. depuis la préhistoire jusqu'à nos jours. Laissez-vous guider dans notre petite galerie d'art : vous apprendrez à mieux regarder les oeuvres et à percer leurs mystères. Bonne visite !

Biographie de l'auteur

Bernard-Yves Cochain est historien d'art et enseignant. II a créé un site Internet consacré à l'histoire de l'art.

24/10/2009

Médicament : Impact de la publicité

D'après une récente étude marketing réalisée aux Etats-Unis, l'exposition d'une marque de médicament sur Internet (site Web, publicité…) aurait un impact important sur les décisions d'achat des internautes, qu'il s'agisse de renouvellement de médicament ou de premier achat de la marque.

La Correspondance de la Publicité – 19/10/2009

23/10/2009

Le management 2.0

Vers un management plus social mercredi 21 oct. 2009 Pour Gary Hamel et Henry Minzberg, un autre management est possible. Gary Hamel, professeur invité de la Harvard Business School et de la London School of Economics, précise qu'il faut le réinventer : il remet en question ses principes, lesquels entravent l'adaptation de l'entreprise au contexte mouvant actuel et il veut inventer le management 2.0, qui innove en permanence.

Henry Minzberg, de son côté, professeur de management à l'université de McGill (Montréal), pense que le management relève d'un processus social et que l'autorité et les décisions brutales et unilatérales entravent les chances d'une meilleure performance de l'entreprise.

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22/10/2009

Réseaux sociaux et entreprises

Gartner recommande à ses clients de ne plus interdire les réseaux sociaux à leurs salariés« Nous ne pouvons pas empêcher l’utilisation des réseaux sociaux, mais tirer parti de la passion des employés et les sensibiliser sur leurs responsabilités est essentiel ». La phrase est de Carol Rozwell, vice-présidente de Gartner, célèbre cabinet de conseil américain.

Les temps changent… Car en janvier 2008, ce même cabinet de conseil mettait sérieusement en garde ses clients contre les réseaux sociaux, forcément responsables des pires fuites d’informations et failles de sécurité imaginables.

Le discours réflexe et conservateur n’a donc plus cours dans le célèbre cabinet de conseil. Pour autant, ce revirement semble plus politique que philosophique. Les clients de Gartner ont vraisemblablement dû sortir la calculette et faire remarquer au cabinet de conseil, que tout (tenter de) verrouiller coûtait de plus en plus cher. Trop cher.

Pour en revenir au point de vue de Carol Rozwell, un tel revirement peut être considéré comme une bénédiction. En tout cas une excellente nouvelle. Si la communication de l’entreprise vers Internet n’est plus la seule exclusivité des services communication et marketing, que l’ensemble des collaborateurs s’emploie à promouvoir – de temps à autres – la marque, les produits et les services de l’entreprise qui l’emploie, les bénéfices pourraient être substantiels.

www.pingwy.com/blog 20/10/2009

20/10/2009

Nouveauté : Le corps humain est un jeu - Chez LIBRIO

J'ai le plaisir de vous présenter un nouveau titre dans la collection "...est un jeu" chez LIBRIO, collection dirigée par mon cousin Pierre Jaskarzec.

Le corps humain est un jeu

A vos neurones !


Toute la collection LIBRIO "...est un jeu"


Présentation de l'éditeur

Combien d'allers-retours de la Terre au Soleil ferait-on avec l'ADN d'une seule cellule ? Un nouveau-né possède-t-il plus d'os qu'un adulte ? Le mimivirus existe-t-il ? Combien de jours notre corps peut-il survivre sans sommeil ? À quelle vitesse se déplace un spermatozoïde ? Notre corps n'a pas fini de livrer tous ses secrets... En 100 questions, cet ouvrage clair, précis et illustré répondra à vos interrogations - et à celles de vos enfants - sur cette incroyable machine. Explorez le corps humain à travers ses fonctions : respirer, bouger, digérer, penser... pour comprendre enfin " comment ça marche " !

Biographie de l'auteur

David Zavaglia est docteur ès sciences. Journaliste scientifique, il collabore à des émissions de télévision ainsi qu'à des magazines. Le corps humain est un jeu est son premier ouvrage.

19/10/2009

Joli coquelicot...

16/10/2009

Facebook au Japon, c'est incognito et sur mobile

Depuis Tokyo - Les réseaux sociaux du Web cartonnent aussi au Japon. Mais ils n'ont pas grand chose à voir avec ceux que l'on connaît en France.

Facebook compterait environ deux millions de membres au Japon. Le chiffre a l'air respectable mais il révèle en réalité un démarrage difficile pour le réseau social le plus populaire de la planète, fondé aux Etats-Unis. C'est trois fois moins qu'en France pour une population deux fois plus importante que dans l'Hexagone. Et si le site américain a ses fans - qui l'ont Le réseau social roi du Japon s'appelle Mixi et compte plus de 15 millions de membres. Il est 100% national, d'ailleurs il est impossible de s'y inscrire lorsque l'on habite à l'étranger. Pour devenir membre de Mixi, il faut obligatoirement être titulaire d'une adresse mail associée à un téléphone mobile délivré par un des operateurs nationaux. Autre particularité : c'est justement sur les portables que Mixi cartonne. Le plus souvent, les Japonais n'utilisent leur ordinateur qu'au travail. Parce qu'ils passent aussi beaucoup de temps dans les transports, leur appareil personnel de navigation sur le web est leur mobile et c'est donc dans sa version pour "keitai", les téléphones portables japonais, que Mixi est le plus consulté.

Discrétion et fidélité

Personnel, mais pas intime. Les Japonais sont d'une remarquable pudeur sur le réseau. Ils s'y racontent peu. Ici, on aime la discrétion dans l'espace public et le Web ne fait pas exception. Sur Mixi, très peu de personnes déclinent leur identité réelle ou racontent ce qu'ils font dans la vie. Comme sur Facebook, des communautés se forment, par exemple autour du manga One Piece ou de la célébrissime Hello Kitty, mais chacun s'abrite derrière son pseudo. "C'est une des raisons qui expliquent les difficultés de Facebook dans l'archipel, explique à LCI.fr Paul Papadimitriou, consultant en stratégie Internet au japon, car, contrairement à Mixi, le réseau social oblige ses utilisateurs à décliner leur identité réelle et n'a pas voulu faire d'exception pour le Japon".

Autre explication : les Japonais sont fidèles. Mixi a beau être médiocre de l'avis des spécialistes, il a l'énorme avantage d'avoir précédé Facebook. "La même chose s'est produite avec Google qui a dépassé Yahoo! en terme de qualité de recherche. Au Japon, il n'a jamais pu rattraper son retard. Les Japonais se sont habitués à Yahoo! qui n'est pas assez mauvais pour les faire changer. La seule solution pour s'implanter ici, c'est d'arriver avec un nouveau service", commente Kristopher Tate. C'est justement ce que tente de faire ce petit génie américain de 21 ans, fondateur du site ZooomR qui l'a rendu célèbre dans la Silicon Valley. Il y a un an, il a tout plaqué pour lancer à Tokyo "Kireiki" (CV en japonais), un réseau social professionnel japonais.

Sur ce site, il est obligatoire de donner sa véritable identité mais, pour rassurer les utilisateurs, la règle est claire : on n'y parle que boulot. Chacun peut déposer des "Itoko", des recommandations, sur les profils des autres et évoquer les projets qu'il souhaiterait mener. On peut bien sûr bâtir des "bridges" (ponts) lorsque l'on souhaite collaborer mais tout cela ne reste que professionnel. "De toute façon, les Japonais ont une très petite communauté d'amis : trois, quatre, peut être cinq. Ces sont les personnes qu'ils aiment et dont ils souhaitent le bonheur. Un plus grand réseau amical ne les intéresse pas", note Kristopher Tate.

Le nouveau réseau social en vogue a d'ailleurs bâti son ascension sur le jeu plus que sur les relations. Il s'appelle Gree, en allusion à "six degrees of separation", la théorie selon laquelle toute personne sur cette petite planète peut être connectée à une autre par un chaîne de six personnes, vous avec le pape ou Barack Obama.

Mais dans Gree, de toutes ces personnes auxquelles on se connecte, on ne sait rien le plus souvent. "Chacun y est représenté par un avatar, par exemple un personnage de manga, et nous proposons aux internautes de jouer ensemble sur leur mobile à de petits jeux de pêche, d'animaux de compagnie virtuel, ou de combats", explique l'entreprise à LCI.fr.

Et ça marche… 15 millions de Japonais sont déjà accros, soit 10% de la population de chaque ville japonaise et un bon tiers de Tokyo. Avec son design enfantin, on pourrait croire que le jeu a séduit les ados. C'est en réalité les jeunes adultes qui s'y rendent en masse, 40% des membres ont même plus de 30 ans.

Portée par ce succès monstre, la jeune société emploie déjà 110 employés dans le quartier de Rotongi à Tokyo et vient de dépenser 10 millions d'euros en affichage publicitaire au cœur de la ville. Qu'importe, elle en gagne bien plus en vendant de petits accessoires virtuels – un ou deux euros pièce – que ses membres peuvent utiliser dans ses jeux. Hameçons de compétition, nonos de pixel à faire ronger par son tamagotchi, et kimono de samouraï s'arrachent… Facebook peut aller se rhabiller.

http://www.tf1.lci.fr/ 09/10/2009

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