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31/12/2009

Entreprise : Génération "Y", Génération "X", Génération "35h"

La "Génération Y", ces enfants des babyboomers nés entre 1980 et le milieu des années 1990, investit l'entreprise. S'interroger sur ses attentes et besoins pour repenser sa stratégie de recrutement, d'intégration et de management est gage de réussite. Check-up des mots-clefs qui la caractérisent.

Génération 2.0
Nés à l'ère des NTIC, les "Y" ont grandi et évolué avec Internet et les usages 2.0.

Interconnectés, sensibles au dialogue, ils aiment la transparence, l'ubiquité, l'ouverture sociale. "Le jeune Y ne recherche plus simplement un emploi et son salaire associé, mais une réelle expérience de vie, qui lui promet challenges, échanges, prises de paroles, montée en compétences…" (Le Journal du Net 11/07/08).

Pour les recruter, l'entreprise est amenée à repenser et renouveler ses moyens de communication. A côté des outils basiques, les sites des entreprises font "peau neuve" se dotant de plates-formes RH, de blogs… pour cibler et attirer les potentiels futurs collaborateurs. Ainsi, Air France propose aux internautes une interface collaborative avec les employés de la compagnie. Une communication de l'intérieur sur les métiers peut ainsi s'instaurer.

Selon Yves Desjacques, DRH du groupe Casino, "Les "Y" affichent des exigences très fortes en matière de progression de carrière et de qualité de vie au travail (…)" (La Tribune 05/09/08). A charge pour l'entreprise de donner du sens à leurs missions.

Pour les "Y", la carrière n'est pas tout! Ils peuvent s'impliquer en dehors de l'entreprise. Conscientes de ces aspirations, des entreprises leur répondent. Chez Ineum (consulting), un "power day" est organisé chaque année. Il permet aux collaborateurs volontaires de contribuer à des activités sociales ou environnementales au service d'une association partenaire (Les Echos 28/04/09).

Génération "Why"*?
Difficile de manager les jeunes de la génération Y.

Entrés dans l'entreprise, les Y, habitués à un monde qui change, peuvent en ressortir tout aussi vite : on les dit "surfeurs". Ils seraient plutôt en quête d'apprentissage permanent. Ainsi, chez Oliver Wyman, société de conseil, un jeune collaborateur peut suivre une dizaine de formations en trois ans. Son aîné en aura bénéficié de cinq en vingt ans.

Ils sont plus fidèles aux gens avec lesquels ils travaillent et dont ils apprécient le professionnalisme, qu'à leur entreprise. Pour eux, le respect n'est pas une question d'âge et doit être mutuel. Ils ne reconnaissent leur manager que s'il est présent, crédible et qu'il travaille à leur côté. Ils sont très exigeants en matière de progression de carrière et de qualité de vie au travail. Ils n'hésitent pas à multiplier les expériences professionnelles pour acquérir de nouvelles compétences et élargir leur réseau. Leur périmètre est européen ou international.

Certaines entreprises ont d'ailleurs intégré dans leur politique de recrutement ce besoin de mobilité.

BNP Paribas offre à chaque région la possibilité d'éditer un blog ce qui permet à l'entreprise de mettre en valeur ses opportunités de carrière, ses challenges…

AREVA a mis en place des outils pour que ses collaborateurs partagent avec leurs amis présents sur Facebook, les offres à pourvoir dans l'entreprise : moyen d'asseoir son image, sa notoriété.

Génération 35h
"Les jeunes ne me paraissent pas, a priori, moins motivés que leurs aînés, ils le sont simplement autrement." précise Philippe Vivien, DRH du groupe AREVA(Entreprise et Carrières, 19-24/09/07). Ils souhaitent trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Selon Emmanuel Hautempenne, consultant spécialiste des jeunes chez Sorgen "ils veulent bien gagner moins pour avoir plus de temps à côté, surtout s'ils ont un hobby qui les passionne" (Le Figaro Entreprises et Emploi, 19/09/05).

S'ils ne sont pas moins engagés, ils aspirent à plus de souplesse dans l'organisation de leur temps de travail. Adeptes du travail à distance que permet le développement des nouvelles technologies, ils sont prêts à donner des forts "coups de colliers" s'ils sont compensés par du temps libre. Bienvenue dans l'ère du donnant-donnant!

Génération Y/Génération X**
A l'heure où pèse sur les entreprises la gestion des seniors (cf alerte RH du 25/05/09 sur "L'emploi des seniors" et le Management RH du 10/05/09 sur ""Le travail des retraités" ), les DRH que vous êtes, doivent penser aux relations intergénérationnelles au travail (éviter par exemple les oppositions seniors/génération Y), susciter les échanges pour favoriser le transfert de connaissances et de savoir faire mutuel, préparer les nouveaux comportements managériaux. Il y aura lieu aussi de réfléchir à une politique de fidélisation telles que recherche des élements propres de motivation de cette génération (approche plus créative des métiers…).

* Y en anglais se prononce why. Il s'agit d'un jeu de mots pour caractériser une génération qui serait en demande constante de justifications.

** Génération X: personnes nées entre 1960 et 1980. Le terme X caractériserait le manque de repères de cette génération qui a grandi sous la guerre froide

Lire l'article complet sur les générations et leurs comportements en entreprise...

29/12/2009

Web 2.0 : un nouveau défi pour la gestion des ressources humaines

Les outils du Web 2.0 investissent l'entreprise. Ils modifient radicalement les méthodologies de travail. Basés sur le fonctionnement collaboratif, ils sont en passe de révolutionner la communication et le management lui-même. Les DRH interpellés, doivent se lancer dans l'ère du web interactif.

De la sphère privée à l'entreprise
La communication démultipliée que représente le web 2.0 se décline en de nombreuses applications. Une nouvelle génération de salariés pousse les entreprises à s'ouvrir à ces outils plus participatifs qu'elle maîtrise parfaitement (blogs, wikis*, réseaux sociaux etc..). Les collaborateurs ne conçoivent plus de ne pas retrouver dans leur sphère professionnelle les outils qu'ils utilisent dans leur sphère privée.

Mais les entreprises sont parfois réservées quant à la généralisation du web 2.0 par peur de perdre le contrôle de l'information. Pourtant, d'après André-Benoît de Jaegère, directeur de l'innovation et du développement au sein de Capgemini Consulting, "le véritable enjeu n'est pas le contrôle de l'information, mais le contrôle de l'accès à l'information".

Un outil testé par des entreprises internationales
La nomadisation du travail incite également les entreprises à mettre en place des portails prenant en compte des technologies favorisant l'émergence de communautés collaboratives et des espaces participatifs. Ces portails intègrent les réseaux sociaux professionnels tel que Viadéo, linkedln, des blogs, des wikis… La société Accenture entreprise " worldwide" a mis en place une plateforme unique, "Accenture Collaboration 2.0″. "…Nous nous positionnons comme une société capable de mobiliser des compétences partout dans le monde afin d'accompagner les projets internationaux de nos clients…[...]. Nous avons toujours cherché a réinventer le don d'ubiquité " souligne Marc Thiollier DG d'Accenture France et Belgique (Entreprises et carrières N°950).

Une expertise partagée
A la Société Générale, la plateforme collaborative combine un annuaire de type réseau social pour que les managers se présentent et créent leur propre communauté d'intérêts et des espaces de travail en mode wiki. Elle héberge des ateliers, des thèmes imposés alimentés par des contributeurs volontaires, tel que le développement du capital humain ou la relation client.

Comme le note François Pichon, directeur marketing d'Open text (entreprises et carrières N° 950), "…les espaces collaboratifs sont devenus des communautés d'expertises, certains salariés partagent les bonnes pratiques sur un métier et pérennisent les savoirs, notamment dans la perspective des départs en retraite".

Encourager la créativité et l'innovation
Chez Mondial Assistance, c'est un outil " BlueKiwi* " qui a permis à l'équipe de se fédérer et d'impulser une dynamique de créativité. Cette plateforme de discussion permet d'échanger en toute simplicité. Des groupes de discussions thématiques s'y sont aussi créés.

Autre illustration au sein de Réunica, sous la forme d'un logiciel d'innovation participative. Outil qui sert également à doper la motivation et à responsabiliser le personnel.

Changer les mentalités
Ces nouveaux outils ne sont pas toujours dans l'environnement culturel de l'ensemble des collaborateurs. La formation à ces nouvelles technologies pourra être envisagée pour faciliter l'appropriation. Le développement du web 2.0 nécessite pour le management de créer de nouveaux réflexes car il s'agit de partager l'information. Un changement des mentalités devient incontournable.

Une utilisation à encadrer
Les risques de dérapage avec ces outils sont parfois évoqués. Pour y remédier, SFR exige que tout article de "MySFR", à la fois blog et réseau social, soit signé par son auteur. Effet garanti! Prévoir une traçabilité des échanges est également souhaitable.

Pour 60% des DRH, sont en jeu des questions de confidentialité et de sécurité (étude Novamétrie, septembre 2009). Le risque est grand que soient divulguées des informations stratégiques. D'où la mise en place de règles précises d'utilisation. 20% des entreprises interrogées par Novamétrie dispose d'une charte d'utilisation.

Les conditions de la réussite
La moitié des DRH estiment que les réseaux sociaux internes seront une priorité stratégique à l'horizon 2012. Instaurer de la confiance et du sens dans l'usage de l'outil sera un enjeu du DRH. Il veillera à ce que les managers ne se sentent fragilisés. Cette mise en place du 2.0 pourra être progressive en commençant avec un petit cercle d'utilisateurs volontaires puis en l'élargissant au fur et à mesure des retours d'expérience. Cette démarche aura l'avantage d'être plus facile à gérer et pourra être propice à la diffusion des usages du web 2.0 au sein d'une plus large communauté. Il y aura lieu aussi de réfléchir à la nomination d'"animateur ou coordinateur de communauté".


Wiki: système de gestion du contenu d'un site web librement modifiable. On utilise les wikis pour faciliter l'écriture collaborative de documents avec un minimum de contraintes.

KIWI: projet d'équipe de gestion du savoir. Knowledge Information Web Intelligence.

Consulter l'article complet sur l'utilisation du web 2.0 en entreprise...

26/12/2009

Twitter se met au français

Le célèbre site de micro-blogging Twitter est désormais disponible en langue française. Jusque-là, le site n'était disponible qu'en anglais, en japonais, et plus récemment en espagnol.

C'est sur son blog officiel que l'équipe de Twitter a annoncé jeudi soir de l'arrivée d'une version francophone du site. Les membres de France, de Belgique ou du Québec peuvent dès à présent changer le paramètre de langue en français dans le menu déroulant sur la page d'accueil.

Comme pour Facebook l'année dernière, le nouveau site en vogue sur la Toile a sollicité ses membres pour l'aider à traduire les différentes applications. Des versions en italien et en allemand sont également en cours de réalisation.

Site à la mode et symbole du Web 2.0, Twitter est un outil de réseau social et de "micro-blogging". Ses utilisateurs ont la possibilité de signaler à leur réseau ce qu'ils sont en train de faire, et de publier des messages courts (les "tweets") d'une longueur maximale de 140 caractères.

Le principal atout de ce service gratuit créé en 2006 aux Etats-Unis est son interface de programmation ouverte et simple d'utilisation. De nombreuses célébrités, comme la chanteuse Mariah Carey ou le cycliste Lance Armstrong, s'en servent pour communiquer régulièrement leur agenda.

Twitter, qui compte près de 50 millions de membres à travers le monde, pourrait bien voir sa fréquentation monter en flèche avec le lancement de déclinaisons régionales. Suite à sa traduction en plusieurs langues, Facebook avait connu en 2008 un véritable engouement dans le monde. Selon le cabinet comScore, la traduction en français de Facebook au printemps 2008 avait généré 600.000 visiteurs uniques supplémentaires en France en un seul mois.

A noter enfin qu'une partie de l'équipe Twitter sera présente à Paris les 9 et 10 décembre pour la conférence "Le Web", présentée par Loïc Le Meur.

20/11/2009

Lire l'article complet sur Twitter et le français...

24/12/2009

Web 2.0 : révolution en cours !

Une vraie révolution est en cours. La blogosphère ne cesse de croître à un rythme effréné. Aujourd'hui toutes les 1,5 secondes un blog est créé, autrement dit 900 000 blogs en 24 heures ! 500 000 nouvelles personnes créent leur profil sur Facebook chaque jour ! Le réseau social numéro 1 comptabilise déjà plus de 325 millions d'utilisateurs (6 novembre 2009).

Sur les moteurs de recherche, 7% de toutes les requêtes se font sur le nom d'une personne.

23 % des internautes font des recherches sur un collaborateur ou un contact professionnel avant de le rencontrer et 77% des recruteurs font des recherches en ligne sur les candidats. Et toutes ces tendances ne font que se renforcer jour après jour.

Le web 2.0, les médias sociaux, l'ouverture d'internet à tout un chacun sont en train de révolutionner plusieurs domaines : la communication, le marketing (on parle de marketing 2.0 ou numérique), la CRM (la gestion de la relation avec la clientèle), etc.

Lire l'article complet sur le web 2.0 et la révolution en cours !

23/12/2009

Le web 2.0 où la prise de pouvoir de l'internaute

Bien des marques traditionnelles ont du mal à gérer leur image et réputation en ligne. C'est notamment le cas des grandes marques qui sont rarement à l'origine des messages les concernant diffusés sur Internet.
Internet reste un média sous exploité par les entreprises, tant au niveau publicitaire qu'en tant que vecteur de communication. Par exemple, très peu d'entreprises interviennent dans la gestion des groupes facebook qui leur sont dédiés.

Un livre blanc publié par 360i met en avant que 77% des résultats incluant YouTube, Facebook, ou encore Twitter sur des requêtes concernant des marques sont contrôlés par des internautes et non les marques elles mêmes.

Notons que 7% des requêtes effectuées incluent une forme de réseau social, un chiffre qui devrait prendre une ampleur considérable dans l'année à venir. Les internautes utilisent les réseaux sociaux dans une démarche conversationnelle : ils partagent des points de vue, se positionnent par rapport à une marque, relatent leurs expériences par rapport à celle-ci, etc.

Un état de fait qui devrait motiver les entreprises à s'inscrire dans ce type de démarche conversationnelle afin de gérer au mieux leur réputation en ligne.

La principale composante pouvant prouver l'importance que prend Internet est bien le e commerce, qui plus est dans les périodes de fêtes à venir. En effet, pour noël les intentions d'achat en ligne sont clairement en hausse par rapport à l'année dernière. 70% des internautes pensent acheter leurs cadeaux en ligne (68% l'année dernière). Marc Lolivier, délégué général de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) met en avant que « malgré un contexte économique récessif, le secteur du e-commerce continue d'afficher une croissance insolente et les perspectives pour Noël sont excellentes ». Une remarque qui devrait réjouir les acteurs du web et susciter quelques vocations pour d'autres encore peu présents sur le
secteur.

La vente en ligne lors des fêtes de fin d'année devrait atteindre 5 milliards d'euros, soit 25% supplémentaire par rapport à l'année dernière. Les cyberacheteurs déclarent vouloir dépenser autant (77%) voir plus que l'année dernière (11%). 71% des internautes interrogés disent vouloir
dépenser encore 100 et 500 euros. 30% pensent dépenser plus de 50% de leur budget cadeaux en ligne.

Ceci s'explique par un contexte de crise toujours sous-jacent dans l'esprit des consommateurs. Internet représente : - un moyen de comparaison afin de trouver la bonne occasion,
- un gain de temps, - un large choix.

38% déclarent également économiser le coût du déplacement en voiture.

Internet représente un réel canal de communication que les entreprises devront s'approprier au plus vite afin de demeurer compétitives. Par ailleurs, chaque action qu'elles entreprennent sont diffusées sur Internet…

Il est donc indispensable pour elles de gérer convenablement leur image sur différentes plateformes : réseaux sociaux, blogs, forums, microbloging…


19/11/2009

Lire l'article complet sur le web 2.0 et la prise de pouvoir de l'internaute...

22/12/2009

Dictionnaires : nouveaux termes

Le New Oxford American Dictionary, prestigieux dictionnaire anglo-saxon, a choisi « unfriend » comme le mot de l'année 2009. Ce néologisme, qui signifie retirer quelqu'un de ses amis sur un réseau social, relance le débat sur l'utilisation, voire la consécration, de termes issus du Web 2.0.

Certains, conservateurs, pensent que de tels mots ne riment à rien alors que d'autres, qui les utilisent quotidiennement estiment qu'une évolution du langage, et par là même du dictionnaire, est parfaitement justifiée.

En plus du mot « unfriend », d'autres termes issus de l'univers des technologies de l'information et de la communication (TIC) feront leur apparition l'édition 2010 du dictionnaire.

Apparition d'un terme, utilisation massive, puis enfin entrée dans le dictionnaire : la France n'est pas épargnée par le phénomène. L'édition 2010 du Larousse a par exemple consacré l'anglicisme geek, pourtant originaire d'après le Oxford du moyen haut-allemand geck fou et du néerlandais gek (fou, dans les deux cas).

Lire l'aticle complet sur les nouveaux termes des dictionnaires...

18 novembre 2009

21/12/2009

Changements technologiques et résistance : myopie ou déni ?

Le changement a toujours été vu comme une menace à l'équilibre établi en entreprise. Il provoque l'anxiété parce qu'il modifie les repères habituels, suscitant du coup la résistance. À une logique de stabilité et de permanence (vous savez, le bon vieux temps) se substitue alors une logique de transformation. Si la maîtrise de l'innovation de rupture est un art, tous n'en ont certainement pas le talent. Le présent billet a pour but de présenter les excuses les plus soulevées par les dirigeants en entreprise pour justifier leur résistance, ici appliquées au changement amené par le Web 2.0, et des pistes pour les convaincre de faire autrement.

12 novembre 2009

Lire l'article complet sur : Changements technologiques et résistance...

20/12/2009

Une place réservée !...


Corsica !

19/12/2009

Débat autour de l'utilisation des neurosciences par la justice

"Le Figaro" indique que le Centre d'analyse stratégique, organisme rattaché au Premier ministre, vient d'organiser un séminaire consacré à l'utilisation des techniques modernes d'imagerie cérébrale dansles procédures judiciaires. D'après le quotidien, ces méthodes, employées dans certains pays pour vérifier la véracité des propos d'un accusé ou bien déterminer sa responsabilité, suscitent en France des réserves "tant pour des raisons de fiabilité scientifique que pour des questions d'ordre éthique". Côté recherche, des neuropsychologues de l'Université de Zurich ont mis en évidence en laboratoirel'activation de deux zones spécifiques du cerveau trahissant une intention malhonnête ou un projet demensonge. Pour autant, les chercheurs se gardent bien d'affirmer la fiabilité absolue d'une telle méthode, car, comme le rappelle Angela Sirigu, directrice de recherche au Centre de neurosciences cognitives du CNRS à Lyon, "une étude en laboratoire ne peut être extrapolée à la réalité de la vie, avec toute la variabilité que peuvent présenter les individus".

Le Figaro - 12/12/09

08/12/2009

Marketing pharma et santé: les Réseaux Sociaux aussi !

Slideshow de l'agence Digitas Health à l'appui, le secteur de la santé fait et fera de plus en plus de marketing. Offline et online, que ce soit directement à destination du public, ou indirectement via les professionnels et pharmaciens.

C'est le cas de Microsoft qui explore les futures technologies de santé personnelle de la prochaine décennie. J'avais aussi remarqué ce que Philips fait en B2C et plus spécifiquement sur les produits de matériel B2B. Evidemment, le coeur du dispositif est mené par les fabricants de produits pharmaceutiques comme Johnson&Johnson, avec un marketing grande conso et des vraies marques. Pour toucher le public et les patients potentiels, les réseaux sociaux sont forcément inévitables et très largement utilisés. "Social media is not a channel.. it's a conversation"... cet adage est donc aussi vrai pour le marketing de la santé, comme détaillé par l'agence Digitas Health spécialisée verticalement sur le marketing pharma.

Lire l'article complet sur les réseaux sociaux : marketing pharma et santé

06/12/2009

Motiver ses employés en restant concentré sur le positif

Favoriser l'autonomie, la prise de décision et les évolutions de carrière sont des facteurs importants pour l'implication dans le travail. L'utilisation des réseaux sociaux et des jeux sérieux peuvent y aider les entreprises.

En terme de management de la motivation, il est plus efficace de se concentrer sur l'implication dans le travail que sur les faiblesses individuelles et les « ratés » de la vie professionnelle. C'est en tout cas ce qu'affirme le professeur Astrid Richardsen de la BI Norwegian School of Management. « Les entreprises gagneraient beaucoup à s'intéresser davantage aux aspects positifs du travail qu'aux choses qui ne fonctionnent pas », explique-t-elle. Une telle application de la psychologie positive est plus susceptible d'augmenter la productivité et la motivation des employés. « S'impliquer dans son travail ne veut pas dire s'y épuiser », tient cependant à préciser Astrid Richardsen.

Les quatre facteurs de motivation

C'est un processus motivationnel dans lequel les ressources de travail stimulent l'activité, l'efficacité et la performance. Les travaux du professeur Norvégien lui ont permis de dégager quatre facteurs susceptibles d'améliorer l'implication des employés dans leur travail. Le premier concerne l'autonomie de l'employé, c'est à dire la liberté qu'il a de prendre des décisions importantes. Vient ensuite le soutien social qu'il obtient de ses supérieurs et de ses collègues. Le troisième facteur s'intéresse à la satisfaction des employés vis à vis de leur carrière. Le
dernier concerne les opportunités d'évolution interne.

Les réseaux sociaux et les jeux sérieux à l'appui

Pour aider les entreprises à appliquer ces préceptes, les réseaux sociaux et les jeux sérieux pourraient s'avérer des alliés précieux. Le rôle des réseaux sociaux dans le fléchissement des barrières hiérarchiques et dans l'amélioration des relations professionnelles est prouvé de longue date. Leur utilisation pour gérer sa carrière ne fait plus guère de doute non plus, comme le rappelle une étude récente. Quand aux jeux sérieux, ils pourraient permettre d'encourager la prise de décision et accentuer l'autonomie des salariés. Ils peuvent également servir à recréer de l'enthousiasme et à favoriser la communication informelle, dans le cadre de jeux en groupe par exemple.


http://www.atelier.fr/ 09/09/2009

Lire l'article complet "Motiver ses employés en restant concentré sur le positif"

05/12/2009

La future « collaboration d'entreprise » avec le web 2.0

Les dispositifs liés au Web 2.0 ont su s’intégrer progressivement au sein des sociétés. A l’heure ou les outils de collaboration d’entreprises se développent de plus en plus, tels que les réseaux sociaux ou encore le système de flux RSS, l’institut Gartner s’est penché sur le sujet : d’ici trois ans ce système de solution de partage entre professionnels devrait être présent dans 80% des plates-formes de travail collaboratif en entreprise.

Récemment, l’institut Gartner (leader mondial dans la recherche en technologie de l’information) a livré un nouveau rapport, à destination des entreprises, sur les changements de systèmes d’outillages s’appliquant au Web 2.0. Des outils de système de gestion de contenus et d’informations qui sont des facteurs encourageants pour garantir le déploiement des entreprises

Dans le but d’améliorer la collaboration aussi bien en interne qu’avec les partenaires, les entreprises devront davantage avoir recours aux technologies pour faire de la « collaboration » une nouvelle forme de travail. En intégrant des outils type flux RSS ou même wiki, l’intérêt va être de faciliter l’écriture collaborative pour ainsi amener les entreprises vers une meilleure interaction avec leurs clients, leurs partenaires et leurs salariés. D’ici 2013 plus de 80% de plates-formes de travail collaboratif en entreprise adopteront ces nouveaux dispositifs qui s’appliquent au Web 2.0.

La société d’analyse insiste également sur le fait qu’il est important dès aujourd’hui d’intégrer de façon harmonieuse ces outils. En effet, ne pas les substituer aux autres formes de travail permettra ainsi d’améliorer la productivité des entreprises.

Un seul bémol est affirmé par le Cabinet : les entreprises doivent jouer le jeu pour réussir ce passage vers la nouvelle technologie de l’information. Désormais il n’est plus question d’établir des collaborations basées sur de simple partage d’informations et de documents, mais de proposer d’agir et d’interagir directement sur les informations et collaborateur. Ainsi, la réussite des « collaborations d’entreprises » orientées 2.0 se feront dès lors que les entreprises ne substitueront pas la transmission classique pour ces nouvelles méthodes.

Egalement, il est intéressant de noter que de plus en plus de solutions hybrides font leurs apparitions. Méthodes qui permettent aux entreprises d’améliorer leur productivité via des produits tels que Zoho ou récemment Google Apps. Facilitant l’utilisation du 2.0 c’est outillages permettent d’effectuer un travail hors-ligne.

Enfin, pour assurer une telle interactivité dans le travail il va être important pour les dirigeants de prendre en compte les compétences des salariés et de les respecter. En effet, les entreprises se doivent de proposer les meilleurs techniques de travail. Les utilisateurs de la méthode classique sont nombreux et ont tendance à trouver déconcertant d’avoir recours de manière générale au web.

http://www.conseil-entreprise.org 30 octobre 2009

03/12/2009

Apprendre en dormant.

Le sommeil joue un rôle dans les processus de mémorisation. D'après deux études réalisées par des chercheurs de l'université Northwestern (Illinois) et de Lübeck (Allemagne), des stimulations olfactives ou sonores durant le sommeil profond permettent de renforcer la mémorisation. "Que des bruits puissent participer à un processus de mémorisation est nouveau et intéressant. Ces travaux confortent aussi l'idée que la mémorisation d'une donnée est plus efficace quand on l'associe à une sensation que lorsqu'elle est neutre" estime le professeur Damien Léger (centre du sommeil de l'Hôtel-Dieu, Paris). Mais "Le Figaro" souligne le fait que personne jusqu'à présent n'a pu apprendre une langue étrangère pendant son sommeil avec un CD en fond sonore.

Le Figaro – 02/12/2009